Une vie difficile de déplacés dans les camps, des
nombreuses personnes, la plupart ont fuit leurs villages, ils sont toujours
dans les camps, certains donateurs ont interrompu l’aide humanitaire, cette situation complique
davantage leurs vies, les déplacés cultivent des champs et élèvent des animaux pour couvrir leurs
besoins tant bien que mal.
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Yalala
Ndondoli, natif de Karira, est déplacée depuis plusieurs années et mère d’une
grande famille, aujourd’hui, il ture bénéfice du projet en honorant la
scolarité de 3 de mes enfants et en investissant dans l’élevage des petits
bétails<<mes enfants étaient renvoyés de l’école, grâce de la vente d’une
partie de ma récolte, j’ai en fin payé leurs études et peuvent poursuivre leur année
scolaire encours , en suite je compte multipliée
mes efforts en 3 pour rester efficace en investissant dans l’élevage des vaches
et des chèvres >> se félicite telle .
Le marin aménagé est repartie en petite parcelle de 8 hectare offert d’une manière indépendante
par PADEC, chaque ménage exploite sa parcelle pendant une durée bien définie de
5 ans , PADEC ,une organisation locale qui aide les déplacés en fourniture des semences vivrières , Siméon
Bitawa en est le coordonateur ,revient sur la problématique
d’accès difficile des terres par ces déplacés et l’objectif de leur mission étant
qu’organisation<< dans la contrée ,il se pose un problème d’accès a la terre
de population paysanne ,ces concitoyens ne peuvent pas rentrer dans
leurs milieux compte tenu d’activisme des groupes armes, ils préfèrent se
prendre tout de même en charge en terme de la sécurité alimentaire et nous ,on les facilite en menant de
contacts avec les propriétaires de terres
pour les offrir la terre 5 ans gratuitement>> déclare t-il.
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