lundi 3 août 2015

Suspension forcée de cours au campus du lac



Il ya deux jours les étudiants de l’institut supérieur des techniques appliquées et ceux de l’institut supérieur des techniques médicales de Goma se regardent furieusement au campus du lac. La pomme de discordance serait une affaire des tenues de l’une leurs brigades universitaires. Cette situation cause déjà des conséquences  graves sur le   fonctionnement de ces institutions académiques qui leurs étudiants ont séché  les cours de paire d’être pris comme cible par des petits bandits assimilés a des universitaires<< nous cessons devenir au cours de paire qu’on soit tabassé par les étudiants de l’ISTA,  ils  réagissent souvent brutalement   avec des tournées- vices, pinces  et autres armes blanches >> déclare Bijou Mwavita de l’ISTM .Lumumba Muhisa est  porte parole des étudiants de l’ISTA ce qui fâche est le fait que les étudiants de l’ISTM ne veulent pas rendre qu’ils ont emprunté a la brigade sœur lors de l’investiture de leur comite des étudiants. Il s’agit des 15 pièces dont 10 tissus conte géants de la Monusco et 5 des forces armées congolaise(FAC), tenues appartenant jadis aux forces armes congolaises. Pour monter leur mécontentement. Les étudiants de l’ISTA ont suspendu les activités académiques de l’ISTM ce matin. Ils exigent la remise de leurs tenues et un dialogue préalable de Lumumba Muhisa<< nous disons que l’ISTM n’étudiera plus au  campus, s’il veut revenir, il doit se mettre ensemble avec nous remettre l’uniforme de notre brigade>>  insiste –t-il.
Contacter par Kivuinfos, le porte parole des étudiants de l’ISTM rejette ses allégations en bloc et il renonce a toute idée de se réunir pour faire palabre. Sita Mugisho que ce sont des conflits insensees.il  affirme que son institution n’a jamais eu une brigade pour emprunter des tenues des militaires pourtant qu’ils sont étudiants<< il ya une main noir qui veut embraser la paix régnant entre nous, nous allons garder des tenues militaires pour quelle fin, les autorités compétente doivent s’impliquer dans cette affaire qui n’a ni queue ni tête  >> plaide –t-il.
                                                                                                           Norbert Mwindulwa

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