Ruchuru /
La
monté de spirale des violations de
droits de l’homme par des services
spécialisés
Les
arrestations arbitraires, bastonnades, tortures corporelles, amandes injustifiées
sont de cas de violation de droits de l’homme commises par certains éléments
indisciplinés de la légion nationale d’intervention LENI et ceux de services de sécurité en territoire
de Rushuru. Toutes ces violations sont documentées
et dénoncées par les organisations de
droits de l’homme que la société civile. Ces pratiques aberrantes infligées
contre les présumés coupables tuent parfois, cela au vu et au su de tous. Les autorités
promettent des sections rigoureuses aux fauteurs.
Les exactions commises par quelques éléments
de services de sécurité et de
renseignement notamment : la police de la légion nationale d’intervention
et l’agence nationale de renseignement dans le territoire de Rushuru préoccupe
au plus haut point les organisations de droits de l’homme et la société civile.
En dépit de l’amélioration de la situation observée sur le plan sécuritaire à
Rushuru affirment –telles. Ces constants sont ceux des plusieurs organisations
de droits de l’homme à l’occurrence de Peace Human Dignity and development
PHDD. L’un de ces membres qui a requis l’anonymat revient sur ces violations
documentées « ces violations de l’ANR et la PNC sont dénombrés a 10 cas,
dont un homme soupçonné de faire partir des kidnappeurs, retrouvé mort à bout
portant et trainer sur la route »
dénonce-t-il. Et de continuer un autre soupçonné de détention illégale d’arme à
Kiwanja, il a été buller vif par de barre de fer mis sur le feu qu’on lui mettait sur la tête pour qu’il avoue le fait de gré ou de force, cette organisation fustige
également des arrestations illégales qu’elle
qualifie d’arbitraires au niveau de la cité de Kiwanja.
Aller
au-delà de sa mission
Ces agents de services
spécialisés partiraient au-delà de leur
mission « L’ANR de Kiwanja tracasse la population en demandant des cartes
de baptême une fois que la victime a tous les documents dans le but de chercher
le motif pour lui rançonner » dénonce-t-il. Ces cas et plusieurs autres
ont été documentés par cette
organisation de droits de l’homme sur place à Rushuru.
L’ordonnance loi créant le service
national de renseignement stipule dans son texte que « un agent de
l’ANR qui a la compétence d’arrêter doit
être revêtu de grade de l’inspecteur et a le titre d’un OPJ peut arrêter pas d’autres » fait savoir Bienvenu Mayemba du centre de
formation international en droits humains et développement CFIDH /D en
soulignant pas n’importe qui pour faire des arrestations mais ils peuvent se
limiter à fournir des renseignements ou des investigations. Malheureusement à
Rushuru n’importe quel collaborateur de l’ANR effectue des arrestations de tout
genre, même des problèmes fonciers ajoutent cet activiste des droits de l’homme.
Ces dérapages dans leur mission dévolue sont également dénoncés par la
coordination provinciale de la société civile. Thomas Dacquin, parle de
quelques brebis galeux dans le rang de
ces services qui se livrent souvent dans
ses actions sans que leur hiérarchie le
sache « ils ne manquent pas des brebis galeux dans leur rang qui
commettent des bavures sur la population, a l’issue de l’enquête, il se révèle
que leur chef n’était pas au courant, c’est-ce que nous dénonçons
toujours » informe-t-il. Nos
reporters ont fournis leurs efforts pour conforter la version de fait de la
PNC /Rushuru mais en vain. Le colonel Aimé Twite a préféré donne sa langue au chat.
Promesse
d’implication et sanction
Toute fois le Gouverneur de la province a répondu
sur la même question à la Radio Okapi en prévenant et tapant sont sur
table, que ce genre de traitement dégradant
infligé aux populations, seront enquêtés
et si c’est vrai c’est que cela ternie l’image de la PNC, pourtant un
service régalien proche et au service de la population « je président
ce04 février en court une réunion de sécurité, la question est sur table pour
la passer en peigne fin avec le reprenant du commissaire provincial de la PNC,
je projet d’agir avec rigueur une fois que le fait est vrai et je faciliterai
les services compétents pour les déferrer devant la justice » insiste-t-il .
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