vendredi 29 août 2014

En prélude d’un Méga concert de paix, Peace one Day Sensibilise les Gomatraciens



Un méga concert musical  pour la promotion de la paix est au rendez vous, ce concert gratuit  aura comme cadre l’aéroport  international  de Goma, suite a sa grandeur et son importance, au moins plus 600 mille personnes participeront a ce concert témoigne  Peace one Day, une organisation internationale qui milite pour la paix, ce concert aura comme musiciens sur sa piste : Akon, Lexus légal, Dety Darba et la comédie de MBUKULI, le  rendez vous donc fixé pour ce 21septembre prochain.
<<Un concert gratuit  pour célébrer la journée internationale de la paix  à l’aéroport  international   de Goma, il  va se tenir ce  21 septembre prochain>> informe Jeremy Gilley, le coordonateur de Peace one Day lors d’une conférence de presse hebdomadaire de  la Monusco. Goma, une ville touristique située a l’est de la RD Congo est en proie a l’insécurité depuis plus deux  décennies, cette situation ne laisse pas indifférents  certains bâtisseurs de paix et  organisations non gouvernementales   dans le monde, c’est le cas de Peace one Day qui pense que ,ensemble avec les membres des organisations mondiales pour la paix notamment : les églises ,les journalistes ,la Monusco, la société civile et les pays  de la région des grands lacs ,tous peuvent  conjuguer des efforts en mettant ensemble leurs   activités positives de leurs  communautés<< au courant de la journée de ce concert, chacun de nous, doit voir comment ramener au rabais la violence dans nos milieux d’études, de travails et se concentrer sur des activités de la paix >> ajoute  Arsène Tulingani, l’attaché de presse a Peace one Day . Pendant  une seule  journée ,l’aéroport international de Goma servira comme cadre pour abriter ce méga concert qui donnera chance aux Gomatraciens d’apprécier en life des pas des danses   des grands artistes musiciens comme : Akon, Lexus légal, Dety  Darba et le moche comédien  Mbukuli de Mishapi voici tv, nous renseigne les panneaux publicitaires  de cette organisation.
Pour Jeremy Gilley. parler du coût  importe peu a  la réalisation de cette gigantesque  sensibilisation de paix ,mais il préfère de parler de défis, des attentes et sacrifices   par rapport  a la réduction de toutes sortes des violences et a lui de  remercier sincèrement  toutes les parties qui ont accepté que son rêve de 16 ans se réalise  a une seule journée en RD Congo, précisément dans la ville de Goma, celle  du 21 septembre prochain dont le ticket sera gratuit , sans oublier de rappeler aux journalistes qu’une conférence de presse leurs sera tenue le 19 septembre prochain a l’hôtel  Ihusi.
                                                                                                        




 Norbert Mwindulwa

LES RWANDAIS ET LE CONGOLAIS SE REUNISSENT A GOMA



La réunion tenue à Goma pour  quatre  jours  avait  pour but, la démarcation et la matérialisation de la frontière commune entre les deux pays. Le caractère flou de l’identification des bornes matériels et réels  de cette frontière commune engendre a plusieurs  des disputes notamment l’arrestation des pécheurs congolais  par la marine Rwandaise et autres… << plusieurs pécheurs sont incarcérés  au Rwanda et cette impression des limites  frontalières congolo-Rwandaises avait occasionnée les affrontements des FARDC et l’armée Rwandaise a Kanyashedja, en territoire de Nyiragongo en début juin dernier >> reconnais le maire de Goma , Naasson Kubuya Ndohole. Cette réunion fait suite à d’autres réunions préliminaires notamment celle de 2009 au court de la quelle cinq bornes  sur les vingt deux initiales  qui avaient été identifiées  par la bipartite commission, au cœur des disputes surtout la problématique des maisons érigées dans la zone neutre  ajoute James Ngangu, le représentant de la délégation Rwandaise << le sentiment qui m’anime partout  est celui de récupérer tous les temps perdus depuis 2009 jusqu’ a aujourd’hui ,les recommandations de Rubavu au Rwanda  , étaient de procéder a la démarcation complète de la frontière commune et nous rassurer qu’il n’ya plus des problèmes >> précise cet expert du Rwanda.
Il faut dire que ces pourparlers ont pour base le rapport des technocrates des colonies datant de 1911 ,des cartes géographiques et des appareils GPRS , cette réunion représente également  un enjeu capital pour les deux pays très proches  dans la mesure où , elle a mise des éclaircies  sur plusieurs zones d’ombres qui planent en matière de cette frontière commune comme le cas des recommandations qui ont été formulées << que le paiement de vis e les peuples de ces deux pays prenne fin,   la libre circulation des biens et des personnes reviennent comme avant et les experts de deux pays doivent descendre au terrain pour matérialiser ce travail  >> déclare un participant  de la société civile du nord Kivu .  
Des recommandations d’espoirs
Entre autres des recommandations : aux Etats Africains les matérialisations de ces travaux d’identification  et de la reconnaissance des bornes frontalières qui est prévu du             25 AU 30 Aout en cours ,dont la commission mixte s ‘est referee toujours a la carte géographique de la colonie de 1911 ,la reconnaissance de ces bornes frontalières  sur le lac Kivu partira  du mont Heru envie d’établir un état de lieu   de la 6eme borne jusqu'à la 22 éme ,étant donné que les cinq premières  étaient déjà identifiées  et connues au préalable. Chaque borne  doit probablement établir une fiche de repérage, prendre des coordonnées GPRS, des photographies et établir un procès, verbale, aussi que les populations frontalières soient sensibilisées lors de ces travaux…
Pour jean Paul lumbulumbu, un notable de Goma,  la population attendait beaucoup de ces réunions  et a lui de suggérer qu’une fois identifiée ses limites, il faut que ce résultat sois soumis a l’échèle mondial en fin que ses limites soient respectées par tous <<  la population attend la clarification de ses repères de limites ,il faudrait également une volonté prononcée de nos chefs d’Etat  pour couper  court a des incursions entre les pays voisins en fin de consolider cette déjà acquise par le sang de nos compatriotes , l’espoir est donc permis >> ajoute-il.
Il faut préciser que, cette frontière commune lacustre et terrestre  congolo-Rwandaise est d’une distance de plus ou moins de200killomettres. Visiblement  et verbalement, toutes les délégations se sont déclarées satisfaites, la  troisième session de ces travaux est prévue au  Rwanda en date du15 au 19 septembre prochain pour en fin évaluer le résultat de cette identification des bornes nous a précisé le chef de la délégation congolaise, le professeur Mbuya Ndila Malengana, secrétaire permanant de la dite commission au ministère de l’intérieur a Kinshasa.    
                                                                                                                            
 













  Norbert Mwindulwa

UN JOURNALISME POUR LA JUSTICE : C’EST POSSIBLE A GOMA



Trente journalistes des presses de Goma  ont bénéficié une formation de deux jours  pour le journalisme de justice pour lutter contre la petite corruption dans les milieux des magistrats, des journalistes et politiciens, c’est le thème principale  de cet atelier .c’est le cadre de l’hôtel V.I.P place  qui a accueilli ces travaux de formation du 15 au 16 juillet, d’autres thèmes secondaires ont été mis en exergue au profit de ces chevaliers de la plume notamment : la présomption d’innocence et le secret d’instruction .les thème développés a cours de cet atelier comme par exemple ce lui de la petite corruption ,a l’issue de la formation les journalistes devraient  récolter ,traiter ,et diffuser l’information de manière a démontre que la corruption minime que soit-elle ,elle peut entrainer des conséquences graves  surtout en affaiblissant les acteurs concernés  dans ce travail comme <<les magistrats ,les policiers qui jugent le prévenu  et aussi le journalistes qui publie l’information sur que nous dans la zone poste conflit où après que la victime ait été violée de ses Droits , on lui rétablit   la paix ,il doit se sentir être restitué de ses Droit dans une justice équitable>> explique  Tuver Undi, correspondant provincial  des journalistes en danger (J.E.D.) et l’un des organisateurs de la formation.
Cette formation financée par le réseau des citoyens  pour la justice et La démocratie  (R.C.N) en connivence  avec l’union de femmes des medias au Congo (UCOFEM)  et l’O.N.G.D. journalistes en danger est une opportunité salutaire pour un journalisme professionnel dans la mesure où ,elle permet au journaliste de faire son travail dans l’impartialité totale et la responsabilité parfaite car appliquer cette matière ,c’est aussi se mettre en sécurité<<avant que les services de sécurité sécurisent le  journaliste ,il commence par se sécuriser  lui-même  en appliquant les principes appris en journalisme et toutes ces matières connexes y  afférant  et on fera un bon journalisme pour justice donc tout le monde doit en profiter >> renchérie Cosmas Mungazi ,journaliste de Syfia Grand lac.  C’est autour de cette politique rédactionnelle que désormais les trente journalistes formés  de Goma, une province réputée en conflits armés ici en R.D.Congo  que devront produire des articles pour la promotion de la justice.
Pour une presse vectrice de la justice
Parce que  les journalistes vivent dans les zones en conflit ou en  poste conflit avec ou sans les fauteurs de trouble, ils  doivent avoir un esprit de relativiser a ces conflits en fin de contribuer a la reconstruction d’un   milieu médiatique plein de justice car le conflit est inhérent a la nature humaine<<je crois fermement que ce genre de formations sont importantes surtout pour nous les journalistes d’une région en conflit.qui après avoir publié une information sans pour autant s’imprégner de contexte de justice ,  par exemple la notion de la présomption d’innocence  et les explications  des articles de La déclaration  Universelle de Droit de l’homme, nous pouvons être des prochaine cible pour les protagonistes >> explique Evelyne Luyelo , point focal de l’UCOFEM.            Puisque rédiger un article de justice n’est pas une mince affaire, en plus le rédiger mal peut mettre en cause son auteur et même occasionner son arrestation pour délit d’information ou la diffamation, je recommandé aux chevaliers de la plume de passer d’une théorie a la pratique   <<j’exhorte aux participants de faire bien usage de la matière apprise car la justice, la démocratie et le journalisme auront le triomphe   en R.D.Congo >>suggère  Boubacar, coordonateur de RCN.

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Attitude des journalistes lors de la formation

                                Norbert Mwindulwa





                                                                                                

                                                                                       

La conférence hebdomadaire de la monusco captive les journalistes



Elle se tient à Kinshasa et les journalistes de Goma y participent par des dizaines par la vidéoconférence. En plus du confort qu’elle procure, la conférence de presse de la Monusco est devenue une réunion des retrouvailles des professionnels de medias qui en profitent pour se rencontrer et échanger.
C’est chaque mercredi a 12 heures qu’ils sont au rendez vous. Les journalistes de Goma ne ratent pas cette conférence de presse hebdomaire. Ici, ils viennent puiser, à la source, des informations sur la situation sécuritaire de la RD Congo et le travail de la mission des nations unies pour la stabilisation au  Congo. Dans une salle bien équipée : des écrans géants plasmas pour une vidéo conférence, des microphones des dernières générations ainsi que des chaises bien garnies, tous pour mettre les journalistes dans le confort.
Les envoyés spéciaux des grandes chaînes et autres medias internationaux côtoient les reporters des medias de Goma dans une ambiance de bons collègues. Devant ces deux écrans géants et plasmas, ils suivent en direct de Kinshasa, la capitale, les portes parole  civile et militaire de la monusco détaillé la situation de l’évolution de paix dans toutes les onze provinces du pays avec un accent particulier.
Réunion  et source d’information 
<< débutée depuis janvier 2O12, la vidéoconférence est devenue une réunion où les journalistes, non seulement obtiennent l’information a la source, aussi  dont ils ont besoin, mais aussi un forum où ils peuvent se rencontrer physiquement >> se félicite Amadou Bah,  le responsable de l’information publique dans l’est de la RD Congo de la monusco. Il faut dire que cette conférence ne se tenait  qu’a Kinshasa et donc au bénéfice de seuls journalistes de Kinshasa. Depuis le théâtre des affrontements qui opposaient l’ex M23 et les FARDC  ici au nord Kivu et en plus très proche de la ville de Goma est parmi les raisons ayant motivées Martin Kobler, le représentant spécial du secrétaire général  des nations unies, il associant les journalistes de Goma a l’activité pour une bonne interactivité , nous a révélé Marthe Biongo, la chef de section press  center de la monusco a Goma
<<cette initiative est magnifique et aussi importante pour nous qui diffusions pour les  auditeurs ayant besoin des informations provenant de la première main donc celles qui sont précises. Avant les journalistes de Kinshasa posaient des questions a notre place, mais là, nous qui sentons les méfaits de la poste guerre, posons directement nos préoccupations>>, témoigne  Dieu Merci Mango, un journaliste qui vit le quartier Ndosho, un quartier où il ne se passe pas deux semaines sans qu’il y ait des victimes de l’insécurité.
Apres  la rencontre, les journalistes échangent entre eux, discutent sur certaines questions car n’ayant pas assez de temps en ville pour échanger ; chacun étant occupé a servir son medias. << C’est une bonne occasion. Parfois, ils nous arrivent de passer des mois sans que l’on se soit vu avec certains confrères alors que nous exerçons dans la même ville>> témoigne  James Kisubi de la RTNC, qui ne rate pas la conférence. << C’est a partir de là aussi que  nous nouons et échangeons des contacts avec des reporters étrangers. Si vous écoutez un reportage d’un journaliste étranger sur la zone, la seule possibilité de le rencontrer sans difficulté, c’est a cette conférence de la monusco>>. Ajoute pour sa part Steven Wembi, journaliste de chines nouvelles de Kinshasa rencontré  a Goma, lors de la conférence.   
Pour sa part, SY Koumbo Gali, de l’information publique de la Monusco, salue l’engagement et dynamisme des journalistes de Goma qui se sont approprié cette activité où ils répondent présent pour avoir la bonne information.
                                                      
                                                                                                             Norbert Mwindulwa