mercredi 31 août 2016

La Lucha s’éclate en deux !


 Bicéphalisme ou scission au sein du mouvement pro-démocratie lutte pour le changement,  Lucha en sigle. En tout cas  loin sans faux le torchon brule entre les militants de la Lucha, d’abord se sont les fondateurs qui ont publié un communiqué de presse suspendant sept de leur, accusés de haute trahison et un peu plus tard c’est l’autre aille de la Lucha qui contre-accuse les leurs  d’avoir reçu un pont de vain, des mains de politiciens.  Ils ont annoncé la radiation et le renouement de certains de ces fondateurs qui sont considérés comme non actifs car tous devenus fonctionnaires dans les structures financées soient par les institutions de l’Etat soit par des organisations internationales  nous dit Trésor Akili «  notre mouvement a toujours était une force de lutte pour l’alternance, mais des gens ont toujours analysés les raisons fondamentales de notre force. C’est pour quoi, ils utilisent des voies négatives pour nous anéantir » dénonce-t-il. En effet, le pont de vain  dont certains dénoncent ici serait  le dix mille dollars Américains  qu’aurait perçus chacun de sept militants  de la lutte pour le changement aux mains des autorités pour céder à leurs traditionnelles revendications plus un probable  contrat de travail. Ils ont dit que la jeunesse était en famine partout au pays c’est pourquoi les politiciens ont reçu a acheté la morale d’une partie de leurs partisans. Ils ont poursuivi que la Lucha est reste sur sa ligne de conduite,  celle des véritables soldats de la rue, qui ne participeront pas aux assises politiques dans le but de se distribuer les postes plutôt d’être du côté de la population en sachant leurs problèmes et les ramener aux autorités à travers des voies pacifiques. Il faut dire que cette séparation que certains qualifient de forcée intervient après que ces jeunes militants ont été reçu  il y a deux semaines  passées par le chef de l’Etat  ici à Goma au musée du gouvernorat de la province.

Norbert Mwindulwa

lundi 29 août 2016

Le Mwami Ndezi III repose à jamais dans sa dernière demeure !


Le chef de la chefferie de Bwito, le mwami Dieudonné Ndezi a été  inhumé ce vendredi dernier  à Rutshuru- centre. Plusieurs autorités locales et nationales qu’internationales ont rendu un dernier  hommage défèrent a l’illustre disparu au cours de la ceremonie funèbre.

Aucun défaut n’a été émis l’encontre de l’illustre disparu, rien qu’un long chapelet d’éloges avec un curriculum vitae riches en parcours ont  témoigné plusieurs autorités notamment les ministres, députes, gouverneurs de province  et les proches du défunt. Chacun dans son intervention n’en inventé que des qualités à Dieudonné Ndezi, un diplomate avéré, un rassembleur, conseiller, un accueillant, un acteur de développement, un homme qui tient ses promesses, qui parle peu et écoute plus, voilà autant des qualités collées  à l’image de l’illustre disparu de son passage ici aux terres  de nos ancêtres. La chefferie de Bwisha perd un grand homme a affirmé l’assistance sur le lieu de deuil.  Cette assistance demande aux habitants de Bwisha et surtout à son successeur  de préserver les acquis que  Dieudonné avait déjà au profit de son territoire et repose ce jour pour l’éternité. Au cours de toutes  ces cérémonies funèbres  l’atmosphère a été très détendue pas non plus d’émotions  d’humeur, mais plutôt  d’amours et humours avec le gouverneur du Sud Kivu,  a surpris l’assistance en entonnant une quantique  religieuse « le jour où j’irai à la tombe …. » chante Marcelin Cichambo, gouverneur du Sud –Kivu, une chanson qui fait pleurée plus d’un chrétien catholique aux installations du stade Rugabo II. La délégation provinciale, nationale et internationale  était au rendez- vous avec la présence remarquée du ministre Ougandais en charge de la coopération régionale  pour soutenir les cérémonies funèbres.

Norbert Mwindulwa

La MP réfute les accusations dont elle est victime !


  Majorité présidentielle au Nord Kivu dénonce l’implication de ce qu’elle qualifie de manipulation politicienne  de certains acteurs politiques  sur les tueries en territoire  de Beni. Le coordonnateur de cette plateforme en province l’a dit lors d’un point de presse. Monsieur Nkuba Kahombo condamne  avec la dernière énergie  cet incivisme de certains politiques qui véhiculeraient des faussetés et  des contrevérités  sur la personne de l’autorité morale de la majorité présidentielle dans une implication probable de massacre de Beni. Devant des dizaines des journalistes de Goma  Nkuba Kahombo a fustigé  qu’il aurait des acteurs politiques qui se serviraient  des derniers incidents de Beni pour manipuler la population ainsi  faire croire  qu’il aurait  la main noire de Kabila dans ce festival de massacre et  ce dernier serait indiffèrent face à ces massacre. Pour Nkuba, le président de la république reste soucieux de la situation de Beni et fera tout pour en finir. Il demande donc à la population de la province du Nord Kivu de se désolidariser des personnes qui véhiculent ce  qu’il qualifie des folles rimeures. «  La politique de l’ennemi est de créer la confusion dans le  chef de la population en fin de créer un climat de méfiance entre population et ses dirigent, qui se répercuterait par des soulèvements populaire et aboutissant à des tueries sauvages » déclare-t-il en poursuivra ces ennemis utilisent ces stratégies, une fois le chef est à l’Est du pays, il y a des massacres que son administration ne fait rien pour les empêcher. En définitive, la majorité présidentielle demande à la population du Kivu de n’est pas tombé dans le piège de ce qu’il qualifie de l’ennemie celui de faire  croire que ce pays peut être balkanisé. Elle ajoute que Joseph Kabila poursuit l’idéologie politique de Patrice Lumumba, Laurent Kabila de ne jamais trahir le Congo.

Norbert Mwindulwa

Les fermiers Rwandais ont un pas d’avance que les congolais…


Les fermiers concessionnaires Congolais n’ont pas fait  face aux agriculteurs fermiers Rwandais en termes de nouvelles technologies agricoles et des techniques de transformations et conservations des produits de l’élevage et de l’agriculture. Nous avons fait ce constant lors de la foire de fermiers organisée en date du24 au 26 Aout encours.

Trois jours ont suffi pour faire ce Show business agricole organisé par l’association des fermiers et concessionnaires pour le développement. Ces congolais s’y sont  présentés  avec les meilleurs régimes des bananes, des patates douces, des pommes de terre et autres produits agricoles. Dans cette foire, les produits agricoles n’ont suivi aucune transformation c’est notamment Innocent Nditatira, de la coopérative  des agriculteurs et éleveurs. Il a souligné que  les homologues Rwandais ont l’avantage d’être encadrer par leur gouvernement «  nous avons visité d’autres stands, nous avons eus plus d’explications et eux ont apprécié la qualité de  nos produit » déclare-t-il et nous ont encouragé  de nouer une parfaite collaboration  pour que les deux pays aillent de l’avant. En effet les rwandais voudraient qu’en travaillant en connivence avec les Congolais, cela se répercuterait sur le développement  de toute la région. Par ailleurs les Congolais avouent qu’ils ont trouvé comme point fort de leurs paires Rwandais, c’est un encadrement  car leur pays s’impliquerait  à bras le corps dans ce secteur car ils sont loin en technique agricole et fermière. Au-delà de leur stand super décoré, les Rwandais ont également surpris les congolais  par la qualité de leur production  et les technologies utilisées pour  la transformation de produit. Autre surprise c’est également  l’intérêt de la jeunesse rwandaise à l’agriculture car la plupart d’eux sont des jeunes entrepreneurs  contrairement aux congolais, c’est le cas de  Rejus Umugiraneza, manager de CAL GROUP spécialisé pour la production de la patate douce-rose «  nous produisons des patates douces, appelées Orages qui est riche en vitamine A, nécessaire pour notre vision, la croissance de certains cellules et font évité  les crochorcore » explique-t-il. En effet ces patates douces sont transformés par ces jeunes gens en baignes, en pains, en gâteau et en fritte…Les président national de cette plateforme, AFCOD a reconnu que les rwandais sont nettement avance dans ce secteur. BIVEGETE pierre Daniel a souligné que lui-même et ses paires congolais ont été stupéfaits  par leur collègue du Rwanda. Il a par suite recommandé ces membres à apprendre chez  homologues du Rwanda. Rappelons que  ce SHOW BUSINESS de Goma était organisé pendant trois jours  par l’association des fermiers  et concessionnaires Congolais pour le développement.

Norbert Mwindulwa

lundi 15 août 2016

La population de Bwalanda, abandonnée à leur triste sort !


La situation sécuritaire demeure fragile à Bwalanda entre. Deux policiers ont gardés  leurs positions parmi le six qui étaient commis à sécuriser les civiles sur place. Sans compter les mauvaises conditions et les manque d’équipement dont se plaignent les policiers.

Le mercredi dernier, un policier quitte Bwalanda pour sauver sa sécurité informe le fonctionnaire délégué adjoint du gouverneur dans la région. Cela fait une semaine déjà, depuis que les commandants du commissariat de Nyanzale basé à Bwalanda et son adjoint ont abandonné leur poste pour se mettre à l’abri. Actuellement, seuls deux policiers sont présent aux poste de Bwalanda indique les sources locales. Six éléments de la police positionnés à Mutwanda, à 18 kilomètres au nord-est de Nyanzale ont également déserté leur poste. Ils sont tous venus se concentrés sur Nyanzale- centre  en craignant la communauté Hutu, d’être prise en partie par des Mai-mai Mazembe et Nduma défense of Congo en sigle NDC rénové qui pourchassent les combattant Hutu congolais, les Nyatura et leurs alliés FDLR. Les policiers de Nyanzale  menacent de partir d’abord en sous effectifs et se disent submergés par des combattants armés, autres raisons avancées par ces policiers, c’est le manque d’équipement appropriés pour faire bloc a tous ces groupes armés. Ils poursuivent que les conditions de vie est plus difficile  à cause du mouvement de déplacement de la population dans cette partie du Nord-Kivu. Depuis le 07 Aout dernier, toutes les activités commerciales sont suspendues et des policiers parlent des manque de nourriture ainsi que d’eau potable informent nos sources.

Norbert Mwindulwa

Beni à nouveau la cible d’une attaque des ADF


Une nouvelle tuerie en territoire de Beni, c’est en Mbelu, une cellule de la commune de Beu. Le bilan provisoire de ce nouvel festival de massacre fait état de d’une soixantaine de morts  et des maisons incendiées. Ce dimanche à Beni, le deuil était visible sur le visible des habitants très  en colère.

Il est 19 heures du soir, notre collaborateur est sur  le lieu de carnage à Mbelu l’émotion est grande « c’est chaque jour nous et non les autres, c’est comme si nous n’avons pas d’armée » lance un familier d’une victime inconsolable. Les militaires et les membres du conseil urbain de sécurité recherchent les corps sans vie d’autres victimes à travers les champs et les maisons abandonnées. Les assaillants auraient  arrivés sur le lieu de crime avant 19 heures du soir, heure locale selon le témoignage d’un rescapé rencontré par notre collaborateur Mustapha Mulonda « c’était presque 19 heures, ils parlaient en swahili raffinée et j’ai su que ce n’était pas le nôtre. Les FARDC sont venus en retard » déclare-t-il et de poursuivre qu’il s’est en fuit et les rebelle l’ont une fois de plus rencontre au bureau de la cellule. Il ne sait pas comment il est encore en vie s’interroge –t-il ? En effet les rebelles seraient venus de Rwangoma et se dirigeaient lentement vers  Mbelu en fuyant toutes les maisons et commettant leur sale besogne contre la population civile sans défense et cela  avec toute la quiétude déclare nos sources. Scandant  l’hymne national en gorge serré, un chant de révolution pour cette population très en colère manifestait déjà à la tribune du 08 Mars en face de l’hôtel de ville de Beni tout en transportant pour certains leurs cadavres. Du coup, un spectacle désolant surgie, la population tente de s’apprendre à la police pour n’avoir pas pu  jouer son rôle a été vite feu éparpillée par des tirs de sommation et des gaz à la crimogene , une manière pour la police de disperser les manifestants et récupérer les corps sans vie qu’elle détenait aussi éviter le débordement. La société civile de Beni attrister par ce nouveau carnage se plaigne que sa recommandation n’a pas était prise en compte, celle de former des ceintures de sécurité aux alentours de Beni-ville et ses grandes agglomérations, Gilbert Kambale, son président à Beni « nous avions déjà réclamé que la ville soit entours et ses grandes agglomérations  par les éléments des défenses et de sécurité mais  à notre surprise ils ont franchis le bureau de Rwangoma , Mangoli- Kene jusqu’arrive ici » déclare-t-il en précisant que ces présumés ADF leurs lancent un nouveau défi. Il faut dire que toute la journée de ce dimanche, des milliers des personnes faisaient les allers et retours à la morgue de l’hôpital général de Beni, cherchant  à récupérer les corps de leurs dans une intense douleur.

Par ailleurs, le commandant de l’opération Sokola II, annonce une série des mesures  pour vaincre son ennemi de tout le temps à Beni, parmi ces mesures, le changement de tenues militaire des FARDC, le général Mbangu Marcel «  dans un seul jour, nous classons cette année par la douleur et recommençons une autre. Ce que je demande à la population d’être prudente et nous nous mettons à pied d’œuvre pour que rien ne puissent plus perturber cette transition annuelle » déclare-t-il en ajoutant qu’ils ont changé des stratégies notamment coordonner leur service de sécurité enfin que cet année se termine en beauté et changer la marque de tenue car les rebelles se camouflent avec la tenue FARDC conclut-il.

Norbert Mwindulwa

vendredi 12 août 2016

Une route pour évacuation minière et produits agricoles


Le nouveau tronçon routier Logu et Bisiye, le long de 33 Km les séparant, désormais praticable.  Logu est un centre situé à 70 Km  du chef- lieu du territoire de Walikale. Cette information émane de l’administrateur du territoire de Walikale. Joint au téléphone du reportage .CD, Marie-Claire Bangwene dit avoir inspectée les dits  travaux  de Construction de cette route ce jeudi 28 juillet. Ces travaux ont durés quatre mois, financés et exécutés par la compagnie minière Alpha-Mine. Satisfaite de de ces travaux tels qu’exécutés, cette autorité administrative indique que cette route est d’une importante capitale car elle facilite l’évacuation des minerais et plusieurs produits vivriers « c’est une route qui va permettre cette société à sortir leurs produits miniers et faire les mouvements, depuis que Walikale est, cette route n’a jamais existée et facilitera la sortie des produits agricoles, c’est une route très capitale » déclare-t-il.

Norbert Mwindulwa

Un mort et un blessé grave, bilan d’incursion à Walikale


Un enfant a été tué  ce lundi à Walikale et un autre grièvement blessé  dans la journée. Des sources locales, les victimes font partie d’un groupe de cinq  qu’étaient à la recherche du bois de chauffe  lorsqu’ils ont été attaqués par des hommes en arme. Trois  d’eux, se sont échappés et le blessé est actuellement  soigné dans une structure médicale à Goma.

Norbert Mwindulwa


 Toute fois la situation reste tendue  à Buleusa  même si une accalmie relative s’observe  déclarent des sources locales. Au regard de cette situation nous avons voulus avoir plus des précisions sur la commission mise en place par le gouvernement provincial du Nord-Kivu en juin dernier, enfin d’identifier  les populations sur place. Le vice-gouverneur Feler  parle d’une préalable formation que doit subir la dite commission « c’est une lourde commission et ceux-là qui vont doivent maitriser une stratégie et après quoi, elle devra être déployer sur le terrain »déclare-t-il en poursuivant cette commission doit trouver d’autres mécanisme, les délégués du gouvernement qui y est avec tous ces collaborateurs enfin qu’ils procèdent à l’identification des populations et après ils devront sédentariser les retournés , par une cohabitation pacifique avec les communautés résidentes de Buleusa, mais tous les autres réfugiés venus d’ailleurs, ils devront fixer où ils vont vivre sans créer des déséquilibres a ajouté le vice-gouverneur. Il faut dire que deux commissions seront mises sur pied dont la première devrait identifier  tous les présumés auteurs  des tueries et  la deuxième, composée des experts se bornant sur la question de réconciliation, cohabitation pacifique et stabilisation.

Norbert Mwindulwa

Une nouvelle trahison au sein des FARDC


Un officier basé à Walikale est en cavale.  Cela fait suite  à l’arrestation de son épouse il y a de cela quatre jours à Goma avec à sa possession un arsenal de guerre. Des sources proches de la 34 eme région militaire, parlent d’une enquête qui a été ouverte depuis plusieurs mois pour trafic d’armes et des munitions entre cet officier et certains groupes armés actifs dans le Walikale.

Le lieutenant-colonel George Ngulu, commandant de bataillon d’intervention Sokola II a disparu lundi dernier vers 23 heures locales .Cet officier supérieur commandait une unité des FARDC à Buleusa dans la localité de Miringi, groupement Ikobo, secteur de Wanyanga. Des sources policières dans cette région, cet officier à quitter son unité pour une destination inconnue en abandonnant sa garde rapprochée. Il aurait importé  avec lui sa radio de communication marque Motorola ainsi que son revolver .Des sources militaires expliquent que le lieutenant-colonel  Ngulu était dans les viseurs de services renseignements militaires enquêtaient depuis plusieurs mois sur un possible trafic illicite d’armes et des minutions avec certains groupes armés qui ont des repères à Walikale notamment le Nduma Defense of Congo rénové du chef rebelle Guidon.  Nos sources précisent que c’est l’épouse  de cet officier de haut rang qui jouait l’intermédiaire entre lui et cette milice qui lui fournissent encontre partie blanches et minerais. La femme de Ngulu et un élément de sa garde rapprochée sont actuellement aux arrêts depuis ce dimanche dernier à Goma. Cette femme a été interceptée en possession des plusieurs minutions et armes de guerre, le fait qui aurait précipité la fuite de son mari ajoute nos sources.

Norbert Mwindulwa

lundi 8 août 2016

La liberté de presse contrariée par les services de sécurité à Goma


Le journaliste Gabriel Wamenya de la radio Okapi, station de goma dénonce des  menaces et intimidations  dont il est victime  depuis quelques jours. Des menaces emmenant de la part d’un colonel du commissariat provincial  de la police nationale congolaise. Il affirme avoir été pris en filature ce mardi, 02 Aout lorsqu’il était en plein reportage. Notre confrère souligne que depuis le jour où il a fait le déplacement à Buleusa avec le vice-premier ministre de l’intérieur, que cet officier supérieur de la PNC  lui a brandit ouvertement pour la première fois des menaces virulentes. Gabriel Wamenya appelle à la solidarité de tous les journalistes de la province et du pays. Il demande ensuite aux autorités provinciales de  le sécuriser car ces menaces deviennent  plus sérieuses « quant aux on était dans l’hélico, il était  en face de moi, tout à coup il me posa la question, c’est toi Gabriel Wamenya avec un ton sévère ? » déclare-t-il. Il lui répondu oui mon colonel. Le colonel repose sa question en lui disant c’est toi qui diffuse des mensonges sur votre radio, le confrère a voulu savoir de quel mensonge s’agit-il ? Tu as diffusé que la police a tué un jeune garçon  d’une vingtaine d’année par torture pourtant c’est faux, Gabriel rétorque colonel ce n’est pas moi, mais plutôt la radio okapi. Aujourd’hui Gabriel reste dans les viseurs de la police nationale Congolaise.

Norbert Mwindulwa

Désormais le prix du visa pour L’Ouganda réduit à 50 %


 Une bonne nouvelle, les commerçants Congolais qui se rendent en Ouganda peuvent se frottent les mains !

Les commerçants congolais qui se rendent en Ouganda bénéficient d’un rabais sur le prix de leur visa. En effet, cela fait exactement trois semaines depuis que le pays de Museveni  a revue à la baisse  le prix de visa qui  était déjà de cent dollars Américains à cinquante. Selon des sources contactés à la DGI  et DGM Goma, cette décision est mise œuvre depuis que l’Ouganda avait majoré le prix de son visa il y a de cela une année écoulée. Ils ont constaté une baisse énorme dans le trafic des Congolais vers le pays de Kaguta Museveni.  A la question de savoir si la RDC a également revue son prix de visa à la baisse  pour les peuples Ougandais en vertu de la loi  de réciprocité ? Notre source rétorque que pour le moment il est difficile de le dire  car il ‘est pas évident que le prix revu  a cinquante dollars  reste stable.

Norbert Mwindulwa

La REGIDESO failli à sa mission à Goma


Cela   fait exactement deux semaines que l’eau potable  de la société REGIDESO ne coule plus dans plusieurs quartiers de Goma. En cette période de la saison sèche où tout le monde est à la recherche cette denrée quasi rare à Goma. Cette situation pousse les habitants  à aller à la recherche d’eau  au lac Kivu. Contacter à ce sujet  la REGIDESO reconnait qu’elle a des problèmes  techniques  et promet ses clients ensuit d’en apporter solution dans un bref délai. Pendant ce temps nos reporteurs sur terrain ont dénombré des multiples fuites d’eau   et coupures de la tuyauterie de la REGIDESO  çà et là dans la ville de Goma.

Norbert Mwindulwa

Le Camp Ngoroba en feux au Nord-Kivu


Le camp des déplacés du Ngoroba est incendié depuis le samedi dernier  par des hommes en armes identifiés comme des Mai Mai  Mazembe. Ngoroba est situé à 3 kilomètres de Kashalira en groupement de Mutanda, chef-lieu de Bwito dans le territoire de Rutshuru.

Le dit camps hébergeait plus de 500 déplacés  a été attaqué tôt matin, vers 08 heures locales par les combattants Mai Mai Mazembe. Pendant une durée estime à 3 heures, ces combattant ont assiégé dans lequel, ils l’ont mis a feux aussi quelques maisons  des fortunes environnantes pour des motifs : la pourchasse des éléments des Nyatura qui selon eux seraient hébergé dans ce camp de déplacé  informe les sources administratives. Des sources dans cette partie du territoire, les déplacés qui étaient  ont fui vers les montagnes de Chaka-Chaka, Kicheke, Munguli et Bambu. Pour l’instant, il reste difficile de comptabiliser le dégât de cet incendie car dans Ngoroba, un village où il n’y a ni la police nationale moins encore les FARDC. Contacter par votre rédaction, le responsable de la commission nationale pour le refugiés CNR en abrégé confirme cette information et ajoute qu’ils suivent de très près la situation des déplacés dans cette partie de Rutshuru. Lingulya, coordonnateur provincial du CNR parle que les déplacés sont allés dans les villages de Mukuli, Kyondo et sont dans leur suite pour s’enquérir des conditions dans lesquelles vivent ces nouveaux déplacés.

Norbert Mwindulwa