Trop, c'est trop, ils doivent parler, ils, se sont les militants de ''Nasema sasa'' en français '' je parle maintenant'' ,un nouveau mouvement qui se veut citoyen et démocratique a tenu ce vendredi dernier un point de presse à Goma pour plaider aux parties prenantes au dialogue politique qui se tient à Kinshasa de trouver un accord commun, conduira ainsi la RDC aux élections libres , transparentes et démocratique. Ce nouveau mouvement composé particulièrement par les jeunes insiste également sur la tenue des élections en RDC tout en respectant le delai constitutionnel. Ces jeunes l'ont fait savoir au cours d'une rencontre tenue en salle Marry Robson avec d'autres mouvements citoyens notamment la Lucha, le front citoyen et Filimbi enfin d'observer de rigeur la campagne bye bye Kabila, une campagne qui a vue le jour au debut de decembre en cours par le mouvement Lucha et Filimbi. Smith Etumba, l'un des militants de'' Nasema sasa'' reviient sur l'importance de leur reunion<< notre message pour ceux qui participent a des discussion de Kinshasa, de les démontrer qu'ils doivent négocier avec plus de prudences pour n'est pas être rouler dans la farine comme c'est la routine de nos politiciens, nous sommes vigilants tout en les encourageant d'avoir des bonnes solutions >> déclare-t-il en poursuivant que ceux qui sont à Kinshasa doivent faire en sorte qu'ils négocient au profit de la population qui selon eux, attend le départ civilisé du président Kabila le 19 décembre en cours.Ce mouvement est resté septique quand au bugjet de la CENI qu'il qualifie de non réaliste car c'est très coûteux et cela peut faire a ce que le gouvernement trouve une raison plus pour justifier la non tenue des élections en RDC ont -ils souligné. Nous les avons posé la question de savoir pourquoi ils parlent maintenant , surtout en ce moment christiel, Jackson Ishara, l'un de ces militants a répondu qu'ils devraient parler en ce temps car le mal a atteint son niveau le plus haut et ils devraient réagir étant une jeunesse résponsable, sensée de faire la rélève dans tout le domaine de la vie en RDC.
Norbert Mwindulwa
lundi 12 décembre 2016
Tunda : le calvaire de travailler à l’étranger
Des jeunes filles à qui l’on propose d’aller en Homan ou en Arabie saoudite sont exploitées. Une fois sur place, leur passeport, téléphones…ravis. Tunda est l’une de ces filles de Goma. Elle a été recrutée aussi dans ce cadre. Ses patrons arabes ont abusé d’elle pendant son séjour. Tunda m’a raconté son parcours d'exploitation et comment elle a réussi se liberée de cette situation.
l'une des victimes d'exploitation humaine dans la rue de Goma
Les procédés semblent les mêmes. Des jeunes filles à qui l’on propose d’aller à Homan ou en Arabie saoudite se retrouvent, une fois arrivée, démunies de tout, travaillent beaucoup et sous pression forcement jour et nuit et parfois exploiter sexuellement . A l’ombre d’un parasol, assise sur sa chaise en plastique où elle vend à présent les cartes de crédit, Tunda Sonia, 25 ans, graduée en gestion financière, taille moyenne, au teint sombre,habillée en jupe délavée, explique les consequences graves de son voyage à l'etranger << nous avons été acceuillie par une femme Arabe qui a vécue à Goma, elle est rentrée en laissant derrière elle une ONG qui nous recrutait que je ne cite pas le nom>> déclare telle. Selon toujours Tunda, cette ONG est sensée modifier l’âge de la personne recrutée sur son passeport en changeant son prénom par un prénom musulman, c’est pourquoi j’ai été appelée << LATIFA AISHA>> en remplacement de Tunda Sonia, une fois en Arabie, la commissionnaire, une cinquantaine, maitrise le swahili nous conduit de l’aéroport jusqu’à la maison de passage. C’est en ce lieu où la personne qui m’avait achetée signe avec moi, un contrat de deux ans avec un salaire de 4OO dollars Américains le mois que je n'avais jamais reçu.
Le chemin de la croix s'ouvre …
Mais sur place, je reçois un briefing sur l’ensemble des tâches, desormais miennnes provenant de la patronne dans la cour avec un ton ferme << tu es ici pour faire la lessive, arranger les enfants( leur bain,à manger, le suivi de leur répos lorsqu'ils rentrent de l'école), la vaisselle, préparer la nourriture y compris le thé, torchonner la maison, epoussseter les murs de ce bâtiment à trois niveaux car ici ,il y a des poussières a cause de ce raffal violant et en fin tu devras laver les trois véhicules de la cour, cela chaque jour pour que ces voitures n'en magasinent pas de poussieres >> declare ma patronne. Du coup Tunda s'est vue son téléphone et son passeport ravis par sa patronne soit disant qu'elle évite toute distraction<< en realité ,on évitait que je communique avec ma famille et que je ne prenne pas fuite>> en ajoutant qu'elle devrait travailler chaque jour de 5H00 à 22 H 00. Au debut, la tâche semblait facile mais au bout de 4 mois, je sentais comme on désserrait les os de ma colonne vertebrale et là, je n'avais plus envie de vivre se souvient telle en essuyant les larmes sur ses yeux. En plus de ces travaux atroces, cette jeune n'a pas été payé comme prévu << sur papier, nous avons signé un contrat de 2ans avec 400 $, mais je recevais que 150$ >> s'etonne telle avec un sourir ravageur tout en soulignant qu'elle devrait finir ses tâches chaque jour de peur qu'elle puisse recommencer à zéro car elle travaillait sous l'oeil vigilant des cameras où sa patronne avait l'habitude de revisualiser les images de la geante maison, du retour de son allimentation
Retrouve sa porte de sortie
Après ces 4 mois, j’avais envie de me suicider car la souffrace était plus forte que moi, mais une idée m'est venue en tête qu’en plus de mes souffrances, je ne serais accueillie au paradis par cette pendaison. c’est pourquoi je me suis décidée de jouer à la folle<< un jour après leur départ au travail, je me suis mise à déchirer les habits, me verser de la peinture noire sur la peau,casser certains objets de la maison et même manger les restes de mourritures à la poubelle >> déclare telle en sengotant. Là, Tunda aura sa vie sauve grâce à son pseudo maladie qu’un juriste de la nationalité Kenyane d’une ONG sur place, avait plaidée pour son retour au pays.
Interrogé sur ce phénomene, Shamwami Rigobert, membre de la société civile, accuse pour sa part le pouvoir de fermer les yeux << je pense que ce phénomène est allimentée par les détenteurs du pouvoir car ils connaissent comment nos filles sont souvent emportée à l'étrager,puis exploitées et n'en font pas grand cas >> en ajoutant que certaines autorités et policiers tireraient profit de ce trafic. C'est que nie l’un des policiers approché amicalement à l'inspection provinciale de la police mais en reconnaissant certains cas où les mineurs étaient au point de partir avec des faux papiers , voulant prendre l'itineraire de Bukavu via Bujumbura, elles ont été intercepté et la police aurait fait le nécessaire. Pour ce policier qui a recquis l'anonymat , ces cas sont très rares ici à Goma.
Depuis ,Tunda conseille aux jeunes filles qui veulent travailler à l’étranger où, elles pensent que c’est le El dorado, de faire attention car souvent le bonheur ne se retrouve pas toujours chez les voisins mais il peut être à nos côtés. Nous ignorons que la vie humaine est sacrée, aucun travail ne vaut la vie. Aujourd’hui je gagne ma vie petit à petit, grâce à la vente d’unités de téléphones et cela dans la dignité. Après mon relâchement, mon avocat m’avait exhibée les dossiers de 80 jeunes filles qui se sont donnés la mort par suicide et par pendaison apres une intense exploitation sexuelle, donc faites attention des propagandistes…que notre gouvernement ouvre bien les yeux pour arrêter ces malfaiteurs et nous crée du travail dans ce pays riche en tout.
Norbert Mwindulwa
l'une des victimes d'exploitation humaine dans la rue de Goma
Les procédés semblent les mêmes. Des jeunes filles à qui l’on propose d’aller à Homan ou en Arabie saoudite se retrouvent, une fois arrivée, démunies de tout, travaillent beaucoup et sous pression forcement jour et nuit et parfois exploiter sexuellement . A l’ombre d’un parasol, assise sur sa chaise en plastique où elle vend à présent les cartes de crédit, Tunda Sonia, 25 ans, graduée en gestion financière, taille moyenne, au teint sombre,habillée en jupe délavée, explique les consequences graves de son voyage à l'etranger << nous avons été acceuillie par une femme Arabe qui a vécue à Goma, elle est rentrée en laissant derrière elle une ONG qui nous recrutait que je ne cite pas le nom>> déclare telle. Selon toujours Tunda, cette ONG est sensée modifier l’âge de la personne recrutée sur son passeport en changeant son prénom par un prénom musulman, c’est pourquoi j’ai été appelée << LATIFA AISHA>> en remplacement de Tunda Sonia, une fois en Arabie, la commissionnaire, une cinquantaine, maitrise le swahili nous conduit de l’aéroport jusqu’à la maison de passage. C’est en ce lieu où la personne qui m’avait achetée signe avec moi, un contrat de deux ans avec un salaire de 4OO dollars Américains le mois que je n'avais jamais reçu.
Le chemin de la croix s'ouvre …
Mais sur place, je reçois un briefing sur l’ensemble des tâches, desormais miennnes provenant de la patronne dans la cour avec un ton ferme << tu es ici pour faire la lessive, arranger les enfants( leur bain,à manger, le suivi de leur répos lorsqu'ils rentrent de l'école), la vaisselle, préparer la nourriture y compris le thé, torchonner la maison, epoussseter les murs de ce bâtiment à trois niveaux car ici ,il y a des poussières a cause de ce raffal violant et en fin tu devras laver les trois véhicules de la cour, cela chaque jour pour que ces voitures n'en magasinent pas de poussieres >> declare ma patronne. Du coup Tunda s'est vue son téléphone et son passeport ravis par sa patronne soit disant qu'elle évite toute distraction<< en realité ,on évitait que je communique avec ma famille et que je ne prenne pas fuite>> en ajoutant qu'elle devrait travailler chaque jour de 5H00 à 22 H 00. Au debut, la tâche semblait facile mais au bout de 4 mois, je sentais comme on désserrait les os de ma colonne vertebrale et là, je n'avais plus envie de vivre se souvient telle en essuyant les larmes sur ses yeux. En plus de ces travaux atroces, cette jeune n'a pas été payé comme prévu << sur papier, nous avons signé un contrat de 2ans avec 400 $, mais je recevais que 150$ >> s'etonne telle avec un sourir ravageur tout en soulignant qu'elle devrait finir ses tâches chaque jour de peur qu'elle puisse recommencer à zéro car elle travaillait sous l'oeil vigilant des cameras où sa patronne avait l'habitude de revisualiser les images de la geante maison, du retour de son allimentation
Retrouve sa porte de sortie
Après ces 4 mois, j’avais envie de me suicider car la souffrace était plus forte que moi, mais une idée m'est venue en tête qu’en plus de mes souffrances, je ne serais accueillie au paradis par cette pendaison. c’est pourquoi je me suis décidée de jouer à la folle<< un jour après leur départ au travail, je me suis mise à déchirer les habits, me verser de la peinture noire sur la peau,casser certains objets de la maison et même manger les restes de mourritures à la poubelle >> déclare telle en sengotant. Là, Tunda aura sa vie sauve grâce à son pseudo maladie qu’un juriste de la nationalité Kenyane d’une ONG sur place, avait plaidée pour son retour au pays.
Interrogé sur ce phénomene, Shamwami Rigobert, membre de la société civile, accuse pour sa part le pouvoir de fermer les yeux << je pense que ce phénomène est allimentée par les détenteurs du pouvoir car ils connaissent comment nos filles sont souvent emportée à l'étrager,puis exploitées et n'en font pas grand cas >> en ajoutant que certaines autorités et policiers tireraient profit de ce trafic. C'est que nie l’un des policiers approché amicalement à l'inspection provinciale de la police mais en reconnaissant certains cas où les mineurs étaient au point de partir avec des faux papiers , voulant prendre l'itineraire de Bukavu via Bujumbura, elles ont été intercepté et la police aurait fait le nécessaire. Pour ce policier qui a recquis l'anonymat , ces cas sont très rares ici à Goma.
Depuis ,Tunda conseille aux jeunes filles qui veulent travailler à l’étranger où, elles pensent que c’est le El dorado, de faire attention car souvent le bonheur ne se retrouve pas toujours chez les voisins mais il peut être à nos côtés. Nous ignorons que la vie humaine est sacrée, aucun travail ne vaut la vie. Aujourd’hui je gagne ma vie petit à petit, grâce à la vente d’unités de téléphones et cela dans la dignité. Après mon relâchement, mon avocat m’avait exhibée les dossiers de 80 jeunes filles qui se sont donnés la mort par suicide et par pendaison apres une intense exploitation sexuelle, donc faites attention des propagandistes…que notre gouvernement ouvre bien les yeux pour arrêter ces malfaiteurs et nous crée du travail dans ce pays riche en tout.
Norbert Mwindulwa
mercredi 7 décembre 2016
les journalistes de l'est de la RDC , au banc de l'école
une formation au bénéfice de 25 journalistes dont cinq de radio Muhungano de beni, cinq de Dorika Fm de Nyamilima , cinq de la radio canal révélation de Bunya et dix autres de différents médias de Goma, parmi les quels le journal l'émergence, la RTNC, la RTCT, blessing FM... organisé par L’UNESCO en collaboration avec l'union de la presse du Congo/Nord-Kivu sous le financement de la Suede.
Cet atelier de six jours s'inscrivait dans le cadre de formation des radios et journaux locaux par le biaie des technologies de l'information et de la communication TIC en abrégé de l'unesco.
Une vingtaine des journalistes venus de Bunya, de Beni , de Nyamilima et de Goma viennent d'être outillés sur les technologies de l'information et de la communication, le journalisme d'investigation, les questions du genre ainsi que la programmation radiophonique pour ne citer que ça. Cette serie de formation qui est partie du 21 novembre 2016 a été organisée par l'unesco avec l'appui financier de la suede. Des traveaux se sont déroulés à Goma et ont permi aux journalistes de raflechir leur memoire sur des notions capitales liées à leur metier. Les participants estiment que c'était une opportunité de se souvenir des notions professionelles pour les adapter aux attentes de leur publique tout en les consilliant avec les objectifs de leur organe de presse<< les sujets apportes sont imprérieux pour ma radio et je vais pour ma part partager ceci avec mes confère avec qui je travaille >> déclare Jacques Kikuni , directeur de la radio Muungano de Beni, de fil à retorde , ces propos sont confirmé par Didyne de la radio canal révélation de Bunya<< dans notre métier , nous sommes obligés d'apprendre chaque jour,c'est pourquoi cette formation est plus pour moi car j'appris comment réaliser une meilleure interactivité sur la radio et des notions de gestions des textos pour faire bénéfice et à l'entreprise de communication et à la radio qui reçoit ces messages>> se réjouisse-telle. Pour le gestionnaire de finance , il y a eu un logiciel appelé Cafee, à partir du quel ,ce dernier peut créer son bon de commande pour faciliter les enregistrements de frais de diffusion. Il faut dire que cette formation s'est inscrit dans le cadre du programme de l'Unesco intitulé'' renforcer les radios locales par les biais de TIC'' en mettant un accent particulier sur les radios communautaires ciblées .
Norbert Mwindulwa
Cet atelier de six jours s'inscrivait dans le cadre de formation des radios et journaux locaux par le biaie des technologies de l'information et de la communication TIC en abrégé de l'unesco.
Une vingtaine des journalistes venus de Bunya, de Beni , de Nyamilima et de Goma viennent d'être outillés sur les technologies de l'information et de la communication, le journalisme d'investigation, les questions du genre ainsi que la programmation radiophonique pour ne citer que ça. Cette serie de formation qui est partie du 21 novembre 2016 a été organisée par l'unesco avec l'appui financier de la suede. Des traveaux se sont déroulés à Goma et ont permi aux journalistes de raflechir leur memoire sur des notions capitales liées à leur metier. Les participants estiment que c'était une opportunité de se souvenir des notions professionelles pour les adapter aux attentes de leur publique tout en les consilliant avec les objectifs de leur organe de presse<< les sujets apportes sont imprérieux pour ma radio et je vais pour ma part partager ceci avec mes confère avec qui je travaille >> déclare Jacques Kikuni , directeur de la radio Muungano de Beni, de fil à retorde , ces propos sont confirmé par Didyne de la radio canal révélation de Bunya<< dans notre métier , nous sommes obligés d'apprendre chaque jour,c'est pourquoi cette formation est plus pour moi car j'appris comment réaliser une meilleure interactivité sur la radio et des notions de gestions des textos pour faire bénéfice et à l'entreprise de communication et à la radio qui reçoit ces messages>> se réjouisse-telle. Pour le gestionnaire de finance , il y a eu un logiciel appelé Cafee, à partir du quel ,ce dernier peut créer son bon de commande pour faciliter les enregistrements de frais de diffusion. Il faut dire que cette formation s'est inscrit dans le cadre du programme de l'Unesco intitulé'' renforcer les radios locales par les biais de TIC'' en mettant un accent particulier sur les radios communautaires ciblées .
Norbert Mwindulwa
vendredi 25 novembre 2016
Oter son anneau de mariage pour paraitre célibataire
Certains mariés cachent leurs anneaux en vue de se faire passer pour des célibataires dans certaines circonstances. La bague, un signe d’union sacrée pour deux conjoints, le port de cet anneau implique la considération et la présence de son partenaire.
Dans les différentes cérémonies de mariage, à l’église comme à l’Etat civil, l’anneau joue un rôle important. C’est le symbole même du mariage, de l’union conjugale pour toute la vie. Plusieurs jeunes mariés en sont tellement fiers autant qu’ils brandissent expressément leurs annulaires par défis aux célibataires. « J’aime porter ma bague de mariage car elle représente ma femme partout où je me retrouve. En voyant cet anneau, je vois sa présence et cela me rappelle notre engagement» témoigne Félix Fataki, marié et père de deux enfants. Dans la société Gomatracienne, on sait voir la valeur de ce bijou. Plusieurs jeunes s’empressent même à en porter à l’âge adulte pour signifier ceci : je suis fiancé. Cette culture est entrain de perdre son attrait. Des mariés, les hommes souvent, cachent leurs anneaux pour paraître jeune et courtiser ainsi de jeunes femmes. « Si je sais que je vais draguer une fille, avant de l’avoir, je mets mon anneau en poche car très vite elle hésite… » Avoue Patrick du nom d’emprunt, marié et père d’un enfant. Pour son ami Kingabwe F, l’anneau peut faire louper une cavalière sur la piste de dance d’un bar…, ce qui fait qu’on la glisse en poche, une fois là bas ».
Une erreur…
« L’anneau, c’est un symbole significatif dans l’union des deux personnes. C’est une lâcheté que de se confondre aux célibataires après s’être marié. Il est conseillé de toujours le porter. Je crois même qu’il faut sanctionner ceux qui l’enlèvent pour tromper à propos de leur état civil » prodigue, Brigitte Semivumbi, bougoumestre de la commune de Karisimbi. Quant au pasteur Gustave Kamana, de l’église SIMIRNA « porter toujours son alliance, aide à tenir compte de son engagement, car elle vous interpelle. C’est un petit symbole béni, donc sacré » insiste-il. Selon plusieurs parents mariés, enlever son anneau conjugal est assimilé à une renonciation à ses engagements. « En quoi cela gêne t-il de le garder ? Derrière ce comportement, il ya une idée malsaine de mentir, de tromper l’autre. Or, si la fidélité est dans le cœur, le prouver à travers le port de l’anneau est plus expressif »insiste Phillip Assumani.
Origine et signification de l’anneau
L’anneau de mariage puise son origine dans la Rome antique. Les heureux époux se l’échangeaient. Il était fait en fer symbolisant le cercle de la vie et de l’éternité. Quelques siècles plus tard, sous l’influence du mariage chrétien, l’or, métal plus noble, remplaça le fer. Depuis des siècles, le mari passe une alliance en or au doigt de son épouse comme signe d’alliance immuable. Mais ce sont les égyptiens qui ont restauré son port au quatrième doigt de la main gauche, car ils étaient persuadés que la « veine de l’amour » partait du cœur pour aboutir dans l’annulaire gauche. Il n’est pas rare de rencontrer des jeunes gens qui exhibent des anneaux, parfois même comme simple parure. En occident, lorsqu’un jeune homme s’engage comme fiancé à une jeune fille, il lui glisse une bague, cette pratique est courante pour le moment à Goma. Cette étape est capitale pour ceux qui veulent vivre ensemble comme époux. « Pendant les fiançailles, l’amour est au top. Après le mariage, chacun semble avoir acquis ce qu’il cherchait et la tentation d’aller voir ailleurs hante les esprits… Garder son anneau, c’est démontrer que l’on continue à s’aimer, explique Kasanduku Jonas, sociologue de formation.
Norbert Mwindulwa photo droits de tiers
Dans les différentes cérémonies de mariage, à l’église comme à l’Etat civil, l’anneau joue un rôle important. C’est le symbole même du mariage, de l’union conjugale pour toute la vie. Plusieurs jeunes mariés en sont tellement fiers autant qu’ils brandissent expressément leurs annulaires par défis aux célibataires. « J’aime porter ma bague de mariage car elle représente ma femme partout où je me retrouve. En voyant cet anneau, je vois sa présence et cela me rappelle notre engagement» témoigne Félix Fataki, marié et père de deux enfants. Dans la société Gomatracienne, on sait voir la valeur de ce bijou. Plusieurs jeunes s’empressent même à en porter à l’âge adulte pour signifier ceci : je suis fiancé. Cette culture est entrain de perdre son attrait. Des mariés, les hommes souvent, cachent leurs anneaux pour paraître jeune et courtiser ainsi de jeunes femmes. « Si je sais que je vais draguer une fille, avant de l’avoir, je mets mon anneau en poche car très vite elle hésite… » Avoue Patrick du nom d’emprunt, marié et père d’un enfant. Pour son ami Kingabwe F, l’anneau peut faire louper une cavalière sur la piste de dance d’un bar…, ce qui fait qu’on la glisse en poche, une fois là bas ».
Une erreur…
« L’anneau, c’est un symbole significatif dans l’union des deux personnes. C’est une lâcheté que de se confondre aux célibataires après s’être marié. Il est conseillé de toujours le porter. Je crois même qu’il faut sanctionner ceux qui l’enlèvent pour tromper à propos de leur état civil » prodigue, Brigitte Semivumbi, bougoumestre de la commune de Karisimbi. Quant au pasteur Gustave Kamana, de l’église SIMIRNA « porter toujours son alliance, aide à tenir compte de son engagement, car elle vous interpelle. C’est un petit symbole béni, donc sacré » insiste-il. Selon plusieurs parents mariés, enlever son anneau conjugal est assimilé à une renonciation à ses engagements. « En quoi cela gêne t-il de le garder ? Derrière ce comportement, il ya une idée malsaine de mentir, de tromper l’autre. Or, si la fidélité est dans le cœur, le prouver à travers le port de l’anneau est plus expressif »insiste Phillip Assumani.
Origine et signification de l’anneau
L’anneau de mariage puise son origine dans la Rome antique. Les heureux époux se l’échangeaient. Il était fait en fer symbolisant le cercle de la vie et de l’éternité. Quelques siècles plus tard, sous l’influence du mariage chrétien, l’or, métal plus noble, remplaça le fer. Depuis des siècles, le mari passe une alliance en or au doigt de son épouse comme signe d’alliance immuable. Mais ce sont les égyptiens qui ont restauré son port au quatrième doigt de la main gauche, car ils étaient persuadés que la « veine de l’amour » partait du cœur pour aboutir dans l’annulaire gauche. Il n’est pas rare de rencontrer des jeunes gens qui exhibent des anneaux, parfois même comme simple parure. En occident, lorsqu’un jeune homme s’engage comme fiancé à une jeune fille, il lui glisse une bague, cette pratique est courante pour le moment à Goma. Cette étape est capitale pour ceux qui veulent vivre ensemble comme époux. « Pendant les fiançailles, l’amour est au top. Après le mariage, chacun semble avoir acquis ce qu’il cherchait et la tentation d’aller voir ailleurs hante les esprits… Garder son anneau, c’est démontrer que l’on continue à s’aimer, explique Kasanduku Jonas, sociologue de formation.
Norbert Mwindulwa photo droits de tiers
KIVU INFOS: Le journaliste Charles Wasso repose à jamais dans ...
KIVU INFOS: Le journaliste Charles Wasso repose à jamais dans ...: Le confrère Charles Wasso Isunga, l’ex- correspondant dans la région du journal la Prospérité, un journal quotidien paraissant à Kinshas...
mardi 22 novembre 2016
KIVU INFOS: Cinq officiers de la PNC, convoqués pour détournem...
KIVU INFOS: Cinq officiers de la PNC, convoqués pour détournem...Le vice- premier ministre en charge de l’intérieur et de la sécurité exige l’ouverture d’une enquête sur ce qu’il qualifie de détournement...
vendredi 4 novembre 2016
Cinq officiers de la PNC, convoqués pour détournement…
Le vice- premier
ministre en charge de l’intérieur et de
la sécurité exige l’ouverture d’une enquête sur ce qu’il qualifie de
détournement systématique de fonds de ménage
alloués par le gouvernement national aux policiers de légion nationale
d’intervention en abrégé LENI déployé à Mbau,
dans le territoire de Beni. Dans une lettre datant du 31 Octobre dernier
adressée au commissaire générale de la PNC, Evariste Boshab exige une convocation à Kinshasa sans délai
des officiers supérieurs de la PNC au Nord-Kivu soupçonnés d’avoir trempé
dans le détournement de ce fonds.
« Vous, vous conviendriez avec moi que de tels actes anéantissent
les efforts du gouvernement pour venir à
bout de la crise liée à la criminalité
en cette partie Est de la RDC » s’acharne
Evariste Boshab en parlant sans tourner la langue du détournement à travers un mécanisme mis en place par les cinq officiers sensés d’assurer le commandement de la LENI, déployés depuis mars 2014 à Mbau. Dans ce document le
vice-premier ministre et ministre de
l’intérieur cite nommément les officiers
supérieurs de la PNC soupçonnés trempés à cette affaire de détournement notamment la
tête de série numéro le général Awachango Vital Umia , commissaire provincial
de la PNC au Nord-Kivu, le général Ngoyi
Sengelwa, commissaire supérieur provincial de la PNC en Equateur et ancien
commandant de la LENI, le colonel Safari Kazingufu , ancien commandant de la
LENI à Mbau et actuel commandant de la PNC à Beni-ville , colonel Flamand
Baliwa, commandant de la PNC en ville de Goma et ancien chef de la PNC en ville
de Beni et le major Mbala Richard , actuel commandant de
détachement de la LENI à Mbau. Evariste
Boshab vient d’instruire le commissaire général de la PNC, le général
Bisengihimana Charles de convoquer immédiatement ces officiers précités à Kinshasa pour des éventuelles
enquêtes qui mettront à nue le dit détournement et l’impliqueront ou pas les
présumés auteurs. Contactez par une radio de la place, le général Awachango
Vital Umia s’est réservé de tout commentaire.
En effet une lettre d’un capitaine de la PNC, présenté comme le comptable de la
PNC dans le Beni datant du mois mars dernier 2014 ,peu avant le début de
massacre de Beni, ce capitaine souligne que dans le 28 millions de francs congolais destinés à nourrir les policiers déployés au front , moins d’un million de francs congolais seraient arrivés a bon port et les restes seraient partagés par les officiers
cités ci-haut. Le comptable policier donne les numéros de comptes où il aurait lui-même
allé verser de l’argent, les noms de ces supérieurs et dès lors dit vivre dans
la clandestinité. Par ailleurs un activiste de la société civile dit qu’il
aurait des détournements partout dans le pays, mais pourquoi celui-là prend des
allures punitives s’interroge-t-il. L’affaire reste donc à suivre…
Norbert Mwindulwa Les policiers lors d'un soulèvement à Goma
mercredi 2 novembre 2016
Le journaliste Charles Wasso repose à jamais dans sa dernière demeure !
Le confrère Charles Wasso
Isunga, l’ex- correspondant dans
la région du journal la Prospérité, un journal
quotidien paraissant à Kinshasa a été inhumé ce lundi 31 décembre 2016.
Décédé dimanche 30 décembre dernier après
une courte maladie à l’hôpital provincial de Goma. Le défunt Charles Wasso a été accompagné à sa
dernière demeure par sa famille biologique et professionnelle aux cimetières
de L’ITG. Ses confrères journalistes de Goma garderont de lui , une
image d’une personne bien suivie d’une
belle plume journalistique a dit à notre micro Désiré Bigega, l’un des anciens
professionnels de media, correspondant provincial de Syfia Grand
Lac « j’ai une grande consternation de perdre l’un de nôtre que je
connaissais personnellement bien, un travailleur et un homme intègre dans le métier car il
avait moins de problèmes avec les gens, moins colérique et accueillant à tout
nouveau venu , le vide reste donc irremplaçable » regrette-t-il en essuyant des larmes sur ses yeux.
Norbert Mwindulwa le défunt Charles Wasso
Les Congolais, expulsés de l’Ouganda !
Les congolais vivant en
Ouganda ne peuvent pas s’inquiéter de vivre au pays de Kaguta Museveni, ces
propos sont de la police Ougandaise, qui balaye de révère de main l’information faisant étant d’une expulsion
des Congolais en Ouganda.
Plus au moins 290 Congolais, majoritairement mineures d’âges
ont été rapatrié le 28 octobre
dernier de l’Ouganda via la poste
frontalière de Kasindi à Beni. Cela fait suite a un bouclage systématique
improvisé par Kampala, visant à démanteler les sans papiers vivant illégalement
dans la capitale Ougandaise et les localités
de Nyabugandu, Kihambi, Kamasasa, Bwera et Kutani. Le responsable de poste de
police de Kastanzi joint par Kivuinfos, confirme avoir mené cette opération et de souligner que ceux-là qui étaient à
mesure de régulariser leurs situations à
la direction générale de migration DGM en sigle ont regagné l’Ouganda pour
vaquer à leurs occupations quotidiennes. Pour l’heure, le dit bouclage continue nuitamment dans les rues, avenues et
boites de nuit à Bwera où certains Congolais curieusement sans le jeton de la direction
générale de migration Congolaise se font
chaque jour arrêtés. Ces derniers sont
directement renvoyés à la prison de Rusese
en attendant une intervention Congolaise. Par ailleurs la DGM confirme qu’il
n’ya aucun problème entre les deux pays,
les populations vivent ensemble comme d’habitude, c’est une question seulement de conformer les
concitoyens sur leurs séjour là-bas. Visiblement ces derniers jours, les
services de sécurités Ougandais commis
de Kasindi auraient redoublés la vigilance suite à la situation sécuritaire qui prévaut
ces derniers jours dans la ville et territoire de Beni.
Norbert Mwindulwa
samedi 22 octobre 2016
Lancement effective de la semaine CPT-PTME au Nord-Kivu
Lancement ce mardi 18 octobre sur toute l’étendue de la
province du Nord-Kivu de la semaine de la consultation prénatale CPN et prévention de la
transmission du VIH/SIDA de la mère a l’enfant PTME. La cérémonie a été dirigée
par le chef de division provincial de la santé, représentant du ministre
provincial de la santé. Peu avant, une caravane motorisée a été organisée sur les différents tronçons de la ville de
Goma pour sensibiliser la population sur
l’importance de cette campagne. Dans son allocution, le docteur Laurent Katembo
Kirikundi a appelé les habitants de la
province du Nord-Kivu en général et ceux de six zones de santé, la cible de
cette campagne de s’approprier cette activité. Il a insisté sur l’importance
que les femmes enceintes doivent accorder à la consultation dans les trois premiers mois de leurs grossesses « nous lançons ce
que nous appelons à notre gargot médical
la semaine de la consultation
prénatale et de la prévention de la
transmission de mère à son enfant, qui a
pour objectif de capitaliser toutes les femmes enceintant n’étant pas encore
dépistées, de le faire mais aussi leurs
partenaires masculins »déclare-t-il et d’ajuter que cette activité
concerne les femmes allaitantes . Si, il s’avérait que ceux derniers deviennent
positifs, ils doivent se soumettre au traitement pour permettre d’empêcher la
transmission du VIH de la mère à son
nouveau né. Les statistiques fournies récemment par les services techniques
dans le secteur de la santé font état de 1, 1% de la population du
Nord-Kivu qui est séropositive a révélé le docteur Amina Mangana, représentante du chef de
bureau zone Est. Elle pense que la campagne CPN-CPTME contribuera à atteindre
l’objectif d’éliminer la transmission du
VIH/SIDA de la mère à l’enfant d’ici 2030
et augmentera également au moins 30% de nombre des femmes enceintes et allaitantes
testées de VIH d’ici décembre 2016 « le
risque de transmission de la mère à son bébé peut être réduit par la prise des médicaments spéciaux pendant la
grossesse , car actuellement 38% des femmes enceintes connaissent leurs statuts sérologique »révèle-telle
en poursuivant qu’au cours de cette semaine de CPN-CPTME qui commence ce jour, elle invite toutes les
femmes se trouvant dans cette catégorie
à se faire dépister aussi leurs conjoins car c’est volontairement mais également gratuitement ce dépistage. Le
dépistage précoce permet une meilleures prise en charge tout en expriment leurs
gratitudes à leurs différents partenaires soutenant leurs efforts dans lutte
contre cette maladie du siècle. Les organisateurs ont exhorté toutes les
parties prenantes a cette lutte d’avoir une grande abnégation enfin d’avoir un
changement positif de comportement et
de pratique sociale en vue de mettre un terme à la propagation du SIDA. A la fin de la cérémonie, les femmes
victimes de VIH/SIDA ont témoigné de
l’importance de faire la CPN en invitant leurs paires au dépistage volontaire,
l’une d’elles qui à requit l’anonymat donne son expérience « on me
conseillait d’aller se faire dépister mais je me disais pourquoi le faire
pourtant je suis une femme mariée qui ne sort pas en dehors de mon foyer, où
donc j’attraperai le VIH ? Alors que j’avais déjà été atteinte »
avoue-telle et d’appeler d’autres femmes
à se faire dépister car elle 16 ans depuis ces temps et met 4 enfants non
contaminés tout en suivant les conseils des médecins et les ARV.
Norbert Mwindulwa la caravane motorisée pour sensibilisation CPTME-CPN
les femmes qui ont accepté de se dépister volontairementLes journalistes sensibilisés sur la semaine de CPTME et CPN à Goma
Les journalistes membres
du réseau des medias pour le développement REMED en sigle ont été
conviés à un point de presse. C’est pour le préparatif de l’organisation de la
semaine de la consultation prénatale et la prévention de la transmission du
VIH/SIDA de la mère à l’enfant CPN-PTME
en sigle du 18 octobre au 22 en cours
par l’UNICEF. Les zones de santé bénéficiaires
pour la nouvelle stratégie B+ sont
la cible de cette organisation internationale pendant les quatre jours , il
s’agit notamment de Goma, Karisimbi,
Kirotche , Binza, Rutshuru et de
Nyiragongo avec comme objectif
l’augmentation plus moins 30%, le nombre des femmes enceintes et allaitantes
en terme de test de VIH/SIDA en
PTME a expliqué le docteur Marte Idumbo,
spécialiste de prévention de VIH/SIDA, PTME au sein de l’Unicef Goma « les semaines PTME signifient les dépistages
VIH des couples, c.-à-d. femme
allaitante et femme enceinte avec son
partenaire masculin tout cela via les relais communautaires »
explique-telle et d’ajouter que les
concernés soient sensibilisés ces quatre jours d’aller au centre de santé le
plus proche pour suivre le conseil de dépistage de VIH et ceux-là qui se verront positifs puissent suivre immédiatement le traitement
qui est disponible aux structures appropriées car dit-elle l’idéal est d’avoir zéro
contamination VIH/SIDA pour cette catégorie
de personne. Il faut dire qu’ils attendent 73 mille personnes mais jusque là, il n’ya que 25 mille qui se
sont déjà dépistés. C’est la raison qui les a poussés à réaliser une grande
activité de masse pour dépister le
maximum des bénéficiaires et mettre les
positifs sous traitement ARV. De janvier
a ce jour, l’UNICEF a déjà dépister
6 mille partenaires masculins et
leurs attentes se dénombrent à 22 mille partenaires masculins pour cette
année en cours d’où la nécessité de cette campagne de sensibilisation par tous
les canaux de communication. Pour le rappel,
les bénéficiaires sont les femmes enceinte et celles qui allaitent, leurs partenaires
masculins ainsi que les enfants exposés a cette maladie du siècle, le VIH/SIDA.
Norbert Mwindulwa
lundi 17 octobre 2016
Le chef de groupement Mutanda, suspendu…
Le chef de secteur est
suspendu de ses fonctions publiques, ainsi en a décidé l’administrateur du
territoire de Rutshuru. Il est reproche a Kambale Mungera de détourner l’aide
que le gouvernement de la RDC a envoyé aux victimes de guerre dans son entité.
La décision de l’administrateur du territoire de
Rutshuru datant du 8 octobre dernier,
mais rendu publique quelques jours plus tard.
Dans cette décision de l’autorité territoriale ,Justin Mukanya souligne que «
le chef de groupement Mutanda a spolié
ses administré en détournant sans scrupule
une u n lot en assistance essentielle
accordée par le gouvernement de la République en faveur des victimes
d’incendies des maisons d’habitations lors de dernières barbaries humaines perpétrer par des inconnues dans la
chefferie de Bwito ». Un habitant de ce groupement de Mutanda joint au téléphone a confie que Kambale Mungera aurait agit avec d’autres personnes a sa suite. Ensemble, ils auraient détournés
200 tôles et d’autres biens de valeurs destinés aux habitants de la zone. Si le
chef Kambale est puni seul, c’est parc qu’il est le répondant numéros un. Tous nos efforts ont
été vains pour tenter d’avoir la réaction de la personne mise en cause, à
savoir Kambale. Pendant cette période de suspension l’intérim du chef de groupement Mutanda sera
assumé par Alexis Silusawa Masumbuko,
secrétaire administratif du groupement de Tongo. Son installation étant que le
chef du groupement doit avoir lieu dans
un bref délai ajoute une source proche de l’administrateur Justin Mukanya.
Norbert Mwindulwa
Le Bureau du barreau de Goma a ses nouveaux membres
Les cinq membres du bureau du conseil de l’ordre des
avocats au barreau de Goma ont été élus
en remplacement de leurs collègues de
l’ancien conseil de l’ordre des avocats du Nord -Kivu. Il s’agit notamment des
maîtres : Birindwa avec 134 voix sur 138, Feruzi Bilola 119 voix, Mumbere
Buhesi 114 voix, Maheshe 100 voix et en fin Alain Bahati 97 voix. C’est le
nouveau bâtonnier Prosper Kitoga
Kansilenge vraisemblablement élu à
l’issue de l’assemble générale élective tenue le 11 octobre en cours qui a organisé des mains de maitre ces élections
en huit clos dans la salle de full gospel. Après ce huit clos, les journalistes
ont été appelé à la couverture médiatique
de prolation des résultats, au total 138 avocats hors mis les
signataires ont participé a leurs élections, le rapport financier de l’exercice
2016 figurait aussi sur ce point à l’ordre du jour. Il faut préciser que les
doyens des avocats de Goma étaient présents
dans la salle pour apporter leur appui durant tous le déroulement à ces élections. Posant la question sur son caractère
en huit clos, le bâtonnier Prosper Kansilenge s’exprimer de la manière à la
presse « vous savez que nous sommes une famille organisée, les
avocats travaillent en suivant leur éthique et déontologie et il ya des choses
que nous ne devons livrer à la presse pour la bonne image de notre
profession » déclare-t-il. Il a en suite appelé son prédécesseur à la sportivité car les élections, est un jeu
démocratique et accepté le résultat de ces élections serait également un signal
fort leur corporation sensé de redorer l’image de la justice. Ce qui n’est pas
l’avis du bâtonnier sortant Dunia Ruyenzi, contacté, il parle d’une
irrégularité aux articles 27 et 27 règlement
qui régit l’ordre des avocats en RDC. Tous les doyens des avocats présents à la
cérémonie ont appelé Maitre Dunia à respecter les choix de ses
confrères pour préserver sa dignité et
celle de leur corporation.
Norbert Mwindulwa le bâtonnier Prosper félicite les membres de son bureau
l'actuel bâtonnier du Nord -Kivu, Prosper Kitoga KansilengeLa NDSC s’inscrit à faux contre le partage de poste politique…
La nouvelle dynamique
de la société civile se porte à faux
contre tout accord politique du dialogue allant dans le sens contraire du prescrit de la constitution. Ces propos sont
ceux du président national de cette structure citoyenne ce jeudi 17 octobre en
cours lors d’une conférence de presse
organisée à l’intension des journalistes de Goma. Jean-Chrysostome Kijana , le président nationale de la
NDSC et sa structure n’étaient
d’avis pour la tenue du dialogue nationale qui se tient à Kinshasa car selon lui, tout dialogue politique se décline
toujours par le partage du gâteau, chose
qui n’est pas appréciée par la population « tout accord qui viole le prescrit de la loi fondamentale du pays
n’a jamais été le bienvenu à NDSC » déclare-t-il en poursuivant que,
accorder la primature à l’opposition politique Congolaise , c’est se versé a
quelque chose qui énerve la constitution
et qui reste anticonstitutionnelle.
Il faut dire que le président national de cette force
vive est à Goma pour une mission
officielle dans l’objectif de
remobiliser ses concitoyens Nord-Kivuciens que sa structure est là pour la population et
ne travaille que pour elle, en prônant
une citoyenneté responsable. Notons par ailleurs que la NDSC existe et
implantée en RDC depuis novembre 2012, à Goma depuis novembre
2015.
Norbert
MwindulwaJean -chrisostome Kijana, le président national NDSC
lundi 10 octobre 2016
Les Rwandais et les Gomatraciens plaident pour la réouverture totale de leurs frontières
Des villes qui se touchent,
considérées comme jumelles, Goma à l’est
de la RDC et Gisenyi au Rwanda, des
villes renvoient jadis aux tensions
entre les deux pays. Le groupe rebelle
M23 a scionné la région pendant des années, mais un signe de réchauffement est
palpable depuis février dernier car les principales frontières entre ces deux
villes voisines a été recouvert jusqu’à 22 heures, un signe de soulagement pour
des populations.
Un
dimanche soir, à la grande barrière, l’un des postes frontières reliant la
ville de Goma et celle de Gisenyi. Quelques voitures des nations unies font la queue pour se rendre au Rwanda et un petit flot continue de faire
va et vient de tous les sens. Ce
mouvement se répètent sur ce lieu jusqu’à 22 heures. Il est bien longtemps, il
fallait se presser pour y arriver avant la fermeture à 18 heures, ceci a était
le cas pendant environ 3ans et demi. Comme beaucoup de Gomatraciens comme c’est
le cas de Précis Lufungula qui travaille à Goma mais vit à Gisenyi car il juge
la ville Rwandaise plus sécurisée et en plus le logement y est moins coûté, il
se réjouit de cette fermeture tardive « ça nous permet de passer plus
de temps avec nos familles, je reviens d’une fête et je peux facilement changer
les habits et y revenir » se réjouisse-t-il et en ajutant il de cela peu que ce mouvement
était impossible. Même cas de figure pour Prince Kitenge « ça
m’arrange et me donne plus envie de travailler ici ». Non loin de la frontière,
les commerçants Congolais comme Rwandais se frotte les mains Harman de Kivu
Club, un espace de divertissement et de restauration « c’est un ouf de soulagement pour nous, on
m’aimerait que les autorités prolongent les
heures même 24 heure sur 24 car les clients s’entassent ici pendant la
nuit » souhaite-il. Quelques deux kilomètres
plus loin à la petite barrière, c’est une scène à des allures d’un marché et
ambiance est autre. Ce poste frontalier souvent pris d’assaut par les petits commerçants n’a pas bénéficié
de cette fermeture tardive Ciza Zigabe, la cinquantaine révolue, père de 5
enfants, traverse chaque jours quatre à cinq fois par au Rwanda pour acheter
les téléphones portable et les revendre à Goma. Il ne comprend pas
pourquoi les riverains de ce poste frontalier n’est pas avantageux « je me retrouve là-bas à 18 heures de
traverser mais je paie la moto pour arriver à la grande barrière, c’est un
manque à gagner car il n’y a qu’une seule entrée tardive ». Les
Rwandais vendeurs des marchandises assurent être forcés de vendre leur cargaison des produits légumineux à perte à la fin de journée, enfin d’être sûre
de pouvoir traverser cette frontière petite barrière à temps. Il est 18 heures
passées de quelques minutes, nous sommes à la petite barrière, à Birere, un
groupe des femmes font un demi-tour, des
colis sur la tête et s’apprête à traverser
la ville à pied pour emprunter
l’autre poste de frontière.
Norbert Mwindulwa
Goma revit et reprend sa place de ville touristique
Goma, à l’est de la RDC, la capitale provinciale du Nord-Kivu retrouve
une certaine sérénité depuis la fin de la rébellion du M23. Les touristes
commencent même à y revenir avec comme attraction le parc national de Virunga.
Bienvenue
dans la ville touristique de Goma, au premier regard, les panneaux
publicitaires suspendus au dessus du
boulevard qui mène vers les frontières
Rwanda-Congolaises au centre ville peut surprendre la capitale provinciale du
Nord-Kivu. Souvent associée aux guerres et rebellions dit Jacqueline, une
habitante de Goma. Pourtant ce n’est pas là l’avis de Deo Datuis Nyiramana ,
dans son petit café aux murs coloré à la
marque de rastafari , il assure que la ville de Goma attise la curiosité des
visiteurs « j’ai la chance d’être visité par toutes les nationalités ici
dans mon cafétéria surtout des les étrangers qui visitent les volcans, le parc
de Virunga et même cette ville qui a la dimension
touristique »déclare-t-il. C’est surtout le parc national de Virunga, a
une vingtaine de kilomètres au Nord de
Goma, qui attire la tension des visiteurs depuis sa réouverture à 2014. Le plus ancien parc
national d’Afrique abrite le quart de la population de derniers gorilles de montagne mais aussi une autre
direction le volcan Nyiragongo et son
cratère des laves, une attraction prisée.
Le chargé de communication de parc de Virunga
au moins 7 mille touristes ont visité le parc. Selon un rapport de WWF
datant de l’année 2013 géré de manière durable. L’industrie du tourisme au sein du parc pourrait potentiellement générer
235 millions de dollars Américains par ans. Dans le centre ville de Goma
Hortense Mayani 30 ans tient avec sa mère une boutique des vêtements , la
jeune femme est convaincue que la réputation de Goma et sa région évolue et
qu’il ne reste plus qu’à diversifier le
secteur touristique « l’image de Goma a vraiment changée , mon père a une ferme et
beaucoup de gens y vont pour les visites et n’ont pas peur de se faire attaqué
comme avant » déclare-telle en souhaitant que les gens proposent des
belles choses pour soigner l’image de sa villa. La situation de s’est tellement
améliorée se félicité Feler Rutahishirwa , le vice gouverneur de la province du
Nord-Kivu , ce dernier met également l’accent en matière de récent progrès des infrastructures comme
par exemple l’allongement de la piste de l’aéroport international de
Goma « c’est un aéroport qui a été réhabilité même si pas totalement,
nous avons plusieurs compagnies qui atterrissent
ici notamment : Kenya Airways,
Ethipian lines » déclare-t-il en pensant que Goma va reprendre sa place de la grande ville
touristique au centre d’ Afrique. Reste
des nombreux défis qui sont à relevés
par exemple en matière de formation de personnel qualifié et
d’infrastructure routière sans oublier
la stabilité enfin d’attirer des potentiels investisseurs privés.
Norbert Mwindulwa
une vue plongée de la ville de Gomamardi 27 septembre 2016
GOMA : les viols sur les garçons mineurs jamais dénoncés !
La
loi punit sévèrement les infractions de viol, surtout lorsque c’est une
personne mineur. Si le cas de viols des filles est dénoncé, celui des jeunes garçons exploités sexuellement par
les femmes majeures restent un tabou.
Germain Kakule a 16 ans. Depuis deux ans il vit avec une dame
d’une quarantaine d’années sur l’avenue Mutongo. Il ne travaille pas, mais il
remplit son devoir : de satisfaire sexuellement sa partenaire qui est
responsable d’un ménage. C’est en fête
de nouvel l’an 2014 que Germain a été sollicité par cette dame et depuis, il
n’est pas plus rentré sur le toit de ses parents. Alfonse Ndambaje, un jeune
motard, vit dans quartier Kibwet chez
une dame très âgée que lui. Il y passe trois fois la semaine sans regagner le
domicile de ses parents « ces femmes sont obéissantes et discrètes. Il
suffit de satisfaire leurs besoins. Moi je ne paye rien… »Déclare-t-il,
sans scrupule, Alfonse. Ils sont nombreux, des garçons mineurs qui sont violés
par des femmes plus âgées. Ces dames ne sont pas inquiétées et les garçons
mineurs ne sont prêts à dénoncer les actes qu’ils subissent.
Un
gout du plaisir…
Ces femmes qui
confisquent ces jeunes garçons, expliquent qu’elles les font pour éviter les problèmes. « Des
hommes adultes vous imposent une vie que vous ne voulez pas et pour la plupart
ils vous exposent également aux diverses
maladies » s’en franchi Suzanne K. Et ces pauvres mineurs sont communément
nommés « petits poussins » ou Ba kadogo sukali, « Mario »…
Et en sont fiers …
Nombreux de ces
jeunes garçons ignorent leurs droits.
Ils sont convaincu seules les filles mineures sont protégées par la
loi sur les violences sexuelles.
Pourtant , la loi numéro 9 /001 portant protection de l’enfant à son
article 1 69 , stipule que tout acte sur mineur de n’importe quel sexe
pouvant être poursuivi, entre autres les
actes des pédophilies de toute attirance
sexuelle d’un adulte envers un enfant ,
notamment l’attentant à la pudeur
,la relation sexuelle ,l’érotisme, la
pornographie, l’abus sexuel et le viol est puni de 7 à 20 ans de servitude
pénale principale avec une amande de 800 milles francs congolais.
Des
responsabilités partagées
Les différentes
familles des enfants victimes ne fournissent pas d’efforts pour protéger leurs
enfants. Pour le parlement d’enfants, le
combat s’annonce difficile. Michael Mandeko, le président de ce parlement
indique que sa structure avait transféré 7 cas
de viol sur garçons mineurs au tribunal de grandes instances entre 2014 et 2015 mais cela sans suite. Un assistant social des
enfants ajoute qu’il avait également transféré
trois cas similaire au même
tribunal « nous traitons des cas de viol des mineurs sur mineurs. S’il y a
un majeur entre les deux, le cas nous
dépasse et nous le transférons au TGI »exploite-t-il. Maître Génerose Wenga de Dynamique des femmes juriste DFJ
pense que l’erreur revient au parquet
qui est chargé de chercher les
infractions, même à partir des simples rumeurs « nous assistons des
personnes qui eut le courage de demander notre aide, c’est là notre
limite »precise telle. Kavira Kasomo, infirmière au centre hospitalier l’amitié
explique qu’il est difficile de prouver le viol d’un homme si lui-même ne le
dénonce pas. « Jusque-là aucun rapport n’a jamais été publié pour
dénoncer ce viol sur les garçons mineurs. Mais aussi les hommes pensent qu’ils
sont supérieurs aux femmes et cela les empêche de réclamer leurs droits »,
affirme-t-elle. Des ONG semblent être déboussolées sur la situation. Et pourtant,
elle est bien réelle.
Norbert
Mwindulwa
l'un des garçons victime d'exploitation sexuelle est entre ces jeunes
Amdouni Sajou, sauvé par la musique!
Un
ancien Pick Pocket, orphelin du père et
de la mère à cause de guerre à l’âge de 4ans, devient un musicien en 2009 et
insère dans son organisation « only one club », un programme de
culture en accueillant des dizaines des jeunes
venus de la prison. Ce jeune Gomatracien apprend à ses paires à canaliser leurs frustrations et
leurs violences à travers le Hip hop et
le Rap.
Kivuinfos :
pourquoi toutes vos œuvres laissent
transpirer la peur et les viols ?
Amdouni :
j’ai 26 ans. Je suis né dans le quartier Birere, considéré comme le pure
guetton de goma, je suis arrivé tôt dans la rue car la guerre ma séparée si
vite avec mes parents, paix à leurs âmes. Emprisonné pour vol et violences puis
hébergé d’une famille a une autre par
des gens des bonnes volontés , à présent,
je me dois de payer ma facture sociale en luttant contre tous ces antivaleurs
enfin que mes concitoyens ne
subissent plus mon sort. Cela, à travers
la musique et c’est possible qu’on se
défoule de notre manière.
Kivuinfos : alors comment pensez –vous contribuer
l’intégration d’autres jeunes, qui pour la plupart viennent des prisons ?
Amdouni :
ce centre d’encadrement des jeunes est fondé dans l’un des quartiers populaires
de goma où je suis grandi. Ce quartier qualifié criminogène par certains, à
cause des problèmes au quotidien et on y manquait même un espace d’expression. Mais à ce jour,
le quartier change sa face car il arrive que les parents me confient leurs
enfants venus des prisons. Ils répètent qu’ils sont au courant de mon projet et
ils veulent que je les aide .Pour cela je n’ai aucun diplôme pour insérer
ces jeunes ni soutien gouvernemental appart quelques bienfaiteurs qui me font
confiance car ils craignent que leurs enfants ne finissent pas comme moi. Ils
pensent que la seule proximité qu’on puisse avoir avec leurs enfants, c’est le
langage du Rap, de Hip hop donc cette
énergie que je les transmets en signe d’un avenir éblouissant.
Kivuinfos :
Que gagnez-vous dans la musique ?
Amdouni :
je
gagne d’abord de l’estime envers tout le monde car je me sens utile à ma
société pourtant il y a peu, j’étais considéré comme un voleur qualifié,
aujourd’hui les journalistes s’intéressent de moi parce que j’ai changé. J’ai été souvent
blessé par des adultes pour avoir essayé de les voler, cela reste une histoire triste. Ensuite, nous sommes devenus
pacifiques c.-à-d. nous transformons le couteau en chant, exprimons notre colère
verbalement comme le fait Robât King
devant vous. Il répète quelques
lignes musicales sur les conséquences graves de la surconsommation des drogues
et il avoue dans un autre couplet qu’il était toujours dans les choses louches
mais aujourd’hui, tout ça, appartient au passé car il a intégré « only one
club » et sa vie a changé.
Kivuinfos :
Que ce qui vous motive de devenir un musicien professionnel et où trouvez-vous
le financement ?
Amdouni :
ma
motivation est d’abord une manière pour moi de me défouler en expriment la
façon dont je me suis retrouvé orphelin de père et de la mère par les méfaits
de la guerre occasionnés par des politiciens indélicats. Désespérés de prendre
le pouvoir par la voie démocratique, ils créent des guerres et par la suite. La
profession de la musique m’aide à me créer de l’emploi et donner à d’autres
jeunes d’emplois malgré que nous n’ayons pas eu la chance d’étudier beaucoup.
Pour le financement, ce sont des
personnes des bonnes fois, qui connaissent comment je suis sorti de la
boue et ont peur que Dieu fasse la même
chose pour leurs enfants c.-à-d. devenir orphelin à cause de guerre à l’âge de
4 ans et subir le même sort. C’est pourquoi, madame Byake Jackie, une généreuse
qui m’avait ramassé puis me scolarisé à l’école primaire et peu après la relève
a été assurée par Kambere Faustin pour
quelques années du secondaire. Ma musique sera soutenue en fin par les ONG
internationales à l’instar de Merlin et
the children Voice pour que mes chants égayent et déstressent les
enfants victimes des guerres ou abandonnés par leurs parents, qui restent mes
meilleurs amis car c’est de la rue que je suis sorti. Je me produits une fois
la semaine et je suis au centre chaque jours pour la bonne marche de mes
activités. Je livre des concerts en
faveur de la population avec mes encadrés dans les différents barres de la
place, une façon pour nous, jeunes
ex-prisonniers de se réinsérer dans notre communauté.
Kivuinfos :
que demanderiez-vous aux autorités ?
Je suggère à l’Etat Congolais de venir en aide
cette catégorie des jeunes, qui sort de l’ordinaire et reprend
conscience pour émerger la société dignement en lieu et place de le tourner le
dos car ils risquent de retomber et de s’embourber de nouveau.
Kivuinfos :
Amdouni merci ?
Amdouni :
c’est moi qui vous remercie
Propos
recueilli par Norbert Mwindulwa
Amdouni Sajou, la strar!vendredi 23 septembre 2016
Sept morts, bilan d’une nouvelle incursion à Beni
Les
présumés ADF et leurs dépendants
attaquent à nouveau les habitants
de Beni après avoir incendié leurs
maisons. Les assaillants ont fait
usage aux armes blanches et brulé 12 maisons d’habitations vers 20 heures. Les FARDC ont parvenus à repousser les ennemies.
C’est la cellule
Kasinga qui a été cette fois –ci visité, kasinga est située au nord-est de Beni. C’est ici où sept
personnes ont été tuées ainsi que 12
maisons d’habitation incendiées dans la
nuit du 21 septembre par les présumés ADF. Les FARDC alertées, ont parvenu à arrêter ce festival de massacre par les affrontements toute la nuit témoigne
un rescapé joint au téléphone de votre blog, dans cette zone, il a affirmé que les
assaillants sont restés dans leurs cachettes
jusqu’à la mi-journée du jeudi septembre en cours sans être
aperçu « j’ai quitté chez moi pour
fuir vers la brousse, près de mon refuge , c’est là aussi où ils sont venus se
cachés également » déclare-t-il en ajoutant qu’ils ont passé la nuit sur
place et
y sont quittés ce jeudi à 12 heures en prenant la route qui mène
Mamusengira. Des nouvelles unités des FARDC seront vite fait déployés dans la zone pour suivre
les traces de l’ennemi qui s’attaque à la population civile, ennemi qui était
curieusement avec ses dépendants
dit le porte-parole des FARDC dans la zone SOKOLA 2 Marc Azukayi « l’ennemi a attaqué Kasinga
avec à sa suite ses dépendants, les
enfants et leurs femmes. Ces enfants ont commencé à crier au secours et les
victimes ont voulu réellement porte secours a ses enfants, tomberont dans leur
piège » témoigne-t-il. Notez jusque 17 heures le jeudi dernier, les cellules Kasinga et bel
air dans le quartier BOYKEN s’est vidé de ses habitants craignant
visiblement pour leur sécurité.
Norbert
Mwindulwa
monument représentant la ville de Beni
11
policiers venus des villes et
territoires de la province du Nord-Kivu
ont été primés ce mercredi 21
septembre en cours par la coordination provinciale de la société civile. Le prix
dénommé NDAKISA, signifie model
en français a été remis ainsi que des effets de ménage d’une valeur de 500 dollars Américains.
C’était à l’occasion
de la célébration de la journée mondiale de la paix. Selon Etienne Kambale,
rapporteur général de la force vive de la province, le choix des lauréats a été
fait par la population. Question pour elle de reconnaitre le model positif de
ces policiers dans leurs relations avec
les habitants. Interrogé, Etienne donne l’objectif de ce nouveau trophée «
c’est pour encourager des policiers
modèles malgré les défis que font la
province, ils se sont toutefois distingués et cotés correctement d’avoir fait
leur mission, protection des civiles et de leurs biens » déclare-t-il en
poursuivant qu’ils ont recueilli en
province qu’aux territoires plus de 150 dossiers avant de les tamiser pour en
sortir 11 lauréats. La ville de Goma a eu trois lauréats dont deux femmes
policières et le célèbre policier de
circulation routière Namwisi Gervé connu sous le pseudonyme
« Mundele ». Ce dernier remercie les habitants de Goma pour le choix
porté sur lui et promet de continuer à cultiver l’excellence dans le service routier qu’il rend aux usagers
de la route enfin de mériter une fois de plus leur confiance lors des
prochaines de leurs éditions de
NDAKISA « je suis ravi et remercie beaucoup notre population pour le choix porté à ma modeste personne et
je les promets de faire mieux à l’avenir »
déclare-t-il. Le trophée dénommé NDAKISA
a été remporté par le territoire de Lubero avec 68,3%, suivi par
Walikale 59, 6% et la troisième place a
été gagnée par Rutshuru avec 53,6% et pour
boucler la boucle c’est la ville de Goma, la 8e place avec 37% pour ne citer que ceux-là. La
stratégie est de stimuler l’émulation au sein
des forces de sécurité. Ce trophée a bénéficié l’appui financier et
matériel de Search For Common Ground ou centre Lokolee.
Norbert
Mwindulwa
policiers primés
mardi 20 septembre 2016
Monusco donne un coup de pouce aux radios !
Huit stations des
radios communautaires de la zone de l’opération Sokola II au Nord-Kivu, membre
du collectif des radios et télévisions de cette province CORACON vient de bénéficier chacune d’un émetteur Radio de 300 watts
accompagnés d’un kit solaire pour régler des problèmes énergiques souvent
rencontrés dans le milieux ruraux, un don de la Monusco dans le cadre de son projet à impact rapide. Ces outils de
communication vont faciliter le bon fonctionnement de ces radios
communautaires spécialement dans la zone où se déroule précisément l’opération
Sokola II. La remise officielle de ces matériels des radios a eu à Goma ce
vendredi dernier. Concernant l’installation et l’acheminement de ces équipements
jusqu’aux lieux de destination, le représentant du bureau de la Monusco à Goma
à préciser que la Monusco s’en occupera. L’un des bénéficiaires , Felix Balume,
le directeur de la radio communautaire de Mweso, dans le territoire de
Masisi « ma radio ne fonctionnait pas bien par le non-conformité de matériel
radio , j’utilise l’émetteur de 100 watts en plus une fabrication locale qui ne
couvrait pas tout le territoire et l’énergie insuffisante, je suis donc
l’homme le plus heureux » se réjouisse-t-il en poursuivant que ce
don va résoudre leur problème tant soit
peu qui se répercutera par l’augmentation de
leur audience. Répondant la question pourquoi la zone Sokola II, le chef
de bureau a dit que ces radios communautaires vont véhiculer les messages de la
consolidation de la paix dans ces zones où cohabitent ces groupes armés.
Norbert
Mwindulwa
La marche de l’opposition passe sans incident majeur à Goma !
La
marche pacifique de l’opposition politique s’est déroulée sans incident Majeur.
En effet une partie de l’opposition a répondu présente cette marche en guise de
rappel au président de la république de la fin
de son deuxième et dernier mandant. Les acteurs de l’opposition sont
allés déposer leur memo au secrétaire exécutif de la CENI, par ailleurs trois
personnes ont été blessées par balle à Ndosho.
Le préavis de fin du deuxième mandant du chef de l’Etat,
préavis écrit par une partie de l’opposition politique de Goma a été déposé à
la CENI ce lundi 19 septembre en cours au coup de 12 heures,
heure locale après une marche encadré par la police. Une marche qui est parti
du rondpoint jusqu’au siège provincial de la commission électorale nationale indépendante.
Pendant cette manifestation certains slogans hostiles au pouvoir en place ont
été lancé par des manifestants parmi eux , des enfants, des élèves portant
l’uniforme bleu et blanc , des étudiants
et des militants de certains partis politiques de l’opposition notamment
de l’ARC, RCD KML, ECIDE,UDPS etc… Une partie de l’opposition politique de Goma
n’ont pris part à cette marche, c’est le cas du PLD et de l’UNC, parti cher à
Vital Kamerhe et bien d’autres reconnus pour leurs activismes politiques. Il
faut dire que boutiques et magasins n’ont pas ouverts moins encore des banques. Selon l’un de ces commerçants
interrogé, ils redoutaient d’éventuel pillage c’est pourquoi, ils ont
préférés de fermer leurs commerces, le
marché central de Virunga n’a pas fonctionné non plus, mais le transport en
commun a été effectif. Avant de déposer la boite contenant le document de
préavis entre les mains du secrétaire exécutif de la CENI, Jean Batiste
Kasekwa, coordonnateur de G7 a lu le contenu du dit préavis devant une foule
des journalistes « j’ai un sentiment de satisfaction que de
remerciement au peuple a qui accepté de sortir pacifiquement dans la rue
jusqu’ici à la CENI, voulons également
la police qui fait un travail loyal au profit des citoyens qu’elle a
mandant de protéger » . Par ailleurs Raphael Akilimali, secrétaire exécutif
de la CENI a promis de faire parvenir leur document à la hiérarchie « vous
le savez bien que nous sommes un secrétariat provincial et pouvons rendre
compte qu’à notre hiérarchie »déclare-t-il. Néanmoins certains débordement ont faillis envenimés
cette manifestation qui a l’intention de
certains personnes de mauvaises fois, qui ont voulus allé au-delà de consignes sécuritaires
prises conjointement entre l’opposition et les dirigeants de la province. Le général
Achango Vital appelé aux opposants de ne plus encadrer ces groupements de
masse. Aussi fait le dépôt, le général a dit qu’il a accompli sa mission avec
ses hommes et il se désengage de suite
des évènements comme ils sont attendus. Il faut dire qu’au quartier Ndosho
trois jeunes ont été blessés par balle
lorsque la police dispersée les manifestants
dans les avant midi à Ndosho et à Majengo, il s’agit des demoiselles
Esther Baseme et Agnès Musimwa, toutes ,élèves à institut Musuli, âgées de 17
ans, la première a été atteinte au niveau de l’abdomen et la seconde au niveau de l’avant-bras où l’os
a été fracturé, le troisième se nomme Chance Musho, 19 ans révolu atteint par
balle perdue à sa jambe car il encadrait les enfants dans la parcelle de ses
parents. Tous sont internés à l’hôpital de CEBCA Ndosho pour de soins
appropriés et deux policiers blessés légèrement sont traités au centre
hospitalier général Bisengimana.
Norbert
Mwindulwa
dimanche 18 septembre 2016
L’ECC sensibilise sur des élections en RDC !
La sensibilisation
des chrétiens pour des élections paisibles et crédibles en RDC. C’est dans ce but que l’église du
christ au Congo, ECC en sigle, organise
depuis ce vendredi dernier à Goma un séminaire qui a fait deux jours, basé sur
l’éducation civique et électorale des
leaders religieux du Nord –Kivu. Cette formation porte sur le comportement à adopter par les chrétiens
avant , pendant et après les élections explique ainsi l’évêque président de l’ECC au Nord-Kivu , monseigneur
Levis Milega Mbala « nous préparons les peuples de Dieu , qu’ils
sachent que les élections ,c’est un devoir citoyen et non un combat où nous
devons nous battre pour une raison ou une autre » déclare-t-il en
poursuivant que nous devons choisir bien
quelqu’un qui peut être utile au pays et cela dans un esprit de paix .
Norbert
Mwindulwa
Nouvelle défection au sein M.P Nord- Kivu !
Alerte au changement
vient d’annoncer qu’il quitte la majorité présidentielle. Ce parti
politique cher à madame Kavira Kananga Felly,
le seul député femme, province en
province du Nord-Kivu a fait cette déclaration
politique ce vendredi à Goma. Dans cette déclaration Alerte au changement accuse la majorité présidentielle de violer
la constitution, de contribuer au glissement du chef de l’Etat et de négligence
à la sécurité des électeurs en soulignant le cas de massacre de Beni. Le président national ce parti politique
revient sur ses griefs « nous décidons de quitter délibérément la plateforme
de la majorité présidentielle étant donné que sa vision actuelle ne cadre plus
avec la nôtre » déclare-telle en poursuivant celle du changement de mentalité
des Congolais et luttant contre toute sorte des antis valeurs tels que retard
d’organiser les élections dans le délai que prévoit la loi fondamentale du pays
pour l’intérêt égoïste. C’est pourquoi, elle dénonce la souffrance de sa
population de Beni minimisée par le pouvoir en place car dit-elle, il traite
avec légèreté le problème de massacre contre les paisibles citoyens. Alerte
enfin s’est engagé de s’aligner du côté des partis politiques de l’opposition
qui n’approuvent pas les démarches dilatoire de la majorité. Réagissant a cette
nouvelle défection , le coordonnateur provincial de la majorité politique au Nord –Kivu soutien pour sa part que madame
Kavira était avec la MP par intérêt , Nkuba Kahombo « quand on entre
dans un groupement politique c’est par conviction et non chercher des intérêts
financiers, pour accéder au pouvoir et le conserver plus longtemps que
possible » déclare-t-il en disant que la constitution jusqu’ici n’a pas
encore était violé par la MP comme
preuve, nous nous sommes ralliées derrière
la cour constitutionnelle, qui a tranché. Pour le rappel, Alerte au changement est agrée à la majorité
présidentielle depuis 2013. Elle avait quitté également l’opposition politique
en ce temps-là.
Norbert
Mwindulwa
L’opposition politique lance un appel à la manifestation !
Les partis politiques regroupés au sein de rassemblement
des forces politiques et sociales accusent au changement, une plate- forme de
l’opposition politique Congolaise appelle la population de Goma à participer
massivement à la manifestation du lundi
19 septembre en cours. Cela s’est passé au cours d’un point de presse organisé ce vendredi dernier au siège provincial du parti MSR, aile droite.
Les responsables de ce regroupement politique ont été explicite sur le bienfondé
de la dite manifestation politique, Jean-Baptiste Kasekwa en est le coordonnateur «
cette marche a trois objectifs : rappeler au président de la République le
sens du serment qu’il avait prêté le 20 décembre 2011, su pied de l’article 74
de notre constitution »
insiste-t-il et d’ajouter rappeler à
monsieur Joseph Kabila le caractère intangible de l’article 220 de la
constitution qui stipule que le nombre et la durée du mandant du président de
la République ne peut faire l’objet
d’aucune modification constitutionnelle et prévoyons de 08 heures à 10
heures les différents groupes des
manifestants viennent de l’axe entrée président jusqu’au rondpoint signers , des axes station
Mutinga et trois lampes, tous on se
regroupe au rondpoint signers . Delà vers 10 heures, descendons tout
droit pacifiquement jusqu’à la CENI pour faire un sit in et à la fin remettrons
mon lettres de préavis à remettre en suite
au président Joseph Kabila qui coiffera notre manifestation
precise-t-il. Il faut dire que peu
avant, les responsables de ce regroupement politique ont rencontré le chef de
bureau de la Monusco pour lui faire part de prévision de cette organisation de
manifestation.
Norbert Mwindulwa
mardi 13 septembre 2016
Kivu infos. lance un S.O.S ces fidèles lecteurs !
Dans le souci
d’améliorer la qualité de notre travail,
qui reste une passion sans but lucratif. Nous rédacteur en chef et propriétaire
du blog Kivuinfos.blogspot.com, un blog d’informations générales sur les
situations du Kivu, en proie à des guerres en répétition, à l’est de la
République Démocratique du Congo. Lançons un cri de cœur à quiconque de bonne volonté, voudra nous
aider en appui matériel pour améliorer notre manière de vous informer partout
au monde et pour toute race.
En effet le blog a
plus de trois ans d’existence et compte actuellement des milliers de lecteurs renseigne sa
rubrique statistiques, chose qui nous fait chaud au cœur et laisse pensée que nous devons améliorer notre
façon de travailler. Nous avons besoin des outils de travail en journalisme
notamment un ordinateur pour que nous soyons actifs même si l’un de nous est empêché,
que l’autre fasse un travail efficace et
efficience pour vous fournir des informations en temps réel et de
manière continuelle tout en poursuivant l’objectif du blog, qui est d’informer les
filles et fils du Kivu en particulier et
du monde en générale se trouvant partout au monde sur l’actualité qui se passe
ici sans débourser aucun sou . Un appareil photo vaut la peine car nous constatons également que les photos qui vont ensemble avec nos
articles ne sont pas professionnelles
et d’autres en manquent, nous avons l’intention de les améliorer. L’enregistreur
de son, une innovation qui permettra à notre et votre blog de vous balancer des
sons ou des interviews des populations du monde en générale comme notre rêve le souhaite. Nous nous butons à des
difficultés matérielles et la passion
nous appelle de son côté. Bonne compréhension et un merci d’avance pour votre
coup de pousse.
Notez
bien :
nous n’avons pas besoin de l’argent liquide, mais plutôt de ces trois précieux
matériels pour nous faciliter la tâche.
Nos
contacts : +243 998 948 698
+243 853 376 289 /Goma RDC
E-mail :norbermwindulwa@gmail.com
Norbert
Mwindulwa
Inscription à :
Articles (Atom)