dimanche 18 septembre 2016

Nouvelle défection au sein M.P Nord- Kivu !


Alerte au changement vient d’annoncer qu’il quitte la majorité présidentielle. Ce parti politique  cher à madame Kavira Kananga Felly, le seul député  femme, province en province du Nord-Kivu a fait  cette déclaration politique ce vendredi à Goma. Dans cette déclaration Alerte au changement  accuse la majorité présidentielle de violer la constitution, de contribuer au glissement du chef de l’Etat et de négligence à la sécurité des électeurs en soulignant le cas de massacre de Beni.  Le président national ce parti politique revient sur ses griefs « nous décidons de quitter délibérément la plateforme de la majorité présidentielle étant donné que sa vision actuelle ne cadre plus avec la nôtre » déclare-telle en poursuivant celle du changement de mentalité des Congolais et luttant contre toute sorte des antis valeurs tels que retard d’organiser les élections dans le délai que prévoit la loi fondamentale du pays pour l’intérêt égoïste. C’est pourquoi, elle dénonce la souffrance de sa population de Beni minimisée par le pouvoir en place car dit-elle, il traite avec légèreté le problème de massacre contre les paisibles citoyens. Alerte enfin s’est engagé de s’aligner du côté des partis politiques de l’opposition qui n’approuvent pas les démarches dilatoire de la majorité. Réagissant a cette nouvelle défection , le coordonnateur provincial de la majorité politique  au Nord –Kivu soutien pour sa part que madame Kavira était avec la MP par intérêt , Nkuba Kahombo «  quand on entre dans un groupement politique c’est par conviction et non chercher des intérêts financiers, pour accéder au pouvoir et le conserver plus longtemps que possible » déclare-t-il en disant que la constitution jusqu’ici n’a pas encore était violé par la MP  comme preuve, nous nous sommes ralliées derrière  la cour constitutionnelle, qui a tranché. Pour le rappel,  Alerte au changement est agrée à la majorité présidentielle depuis 2013. Elle avait quitté également l’opposition politique en ce temps-là.

Norbert Mwindulwa

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