vendredi 26 septembre 2014

Froid, colère et déception après la mort du général jean-Lucien Bahuma



Apres  l’annonce de la mort du général jean-Lucien Bahuma, celui notamment  qui a mené les opérations farouches  qui ont mis en déroute le M23 de certains territoires qu’ils avaient  déjà occupés.
La nouvelle s’est rependue très vite  comme une trainée de poudre ce dimanche tôt matin et a jeté un vent de panique au sein de la population  avant d’être suivie sur des chaînes de medias, comme le témoigne jean Kionge << c’est de la rumeur qu’on apprise la nouvelle du Dèce du colonel Mamadou Ndala et on nous dira que le général Lucien Bahuma serait mort, face a cela, le souffle m’est coupé  ,je suis terrassé et déçu des politiciens de ce pays>> se désole t-il. Il s’est éteint en Afrique du Sud dans la nuit de ce samedi au dimanche, il avait en effet était évacué après une brusque dégradation de son Etat de santé lors d’une mission en Uganda avons-nous ainsi  appris la nouvelle du Dèce du générale  Bahuma par voie de la RFI, a 6heure et demi du matin, heure locale nous déclare Mbeke Vital, étudiant et enfant d’un militaire retrouvé au camp Katindo<< la force de l’injustice  sera basée sur les disparitions  tragiques des autorités militaires qui voudront défendre cette province, c’est inacceptable qu’on le prenne si tôt ,sa mort me provoque  un choc >>s’indigne t-il. L’émotion s’est emparée  ce 31Aout dernier a partir de cette nouvelle  nécrologique de la disparition du commandant de la 8 éme région militaire ,les filles  et femmes de militaires FARDC ont manifesté violement ,certaines en tenues d’Adam et d’autres tors nu entre de chanter et plaire celui qu’elles ont qualifiés d’héro national, des feuilles vertes en mains, pour elles, c’est une façon de dire non a des morts subites des autorités militaires qui essaient de redorer l’image de l’armé nationale congolaise, Mbuyi kapinga, épouse  d’un soldat des FARDC<< nous disons non aux morts brusques et brutales de chefs de nos époux, il faut que  le résultat de l’autopsie soit mis a la connaissance de tous, ils nous ramènent la police militaire pour nous fermer la bouche, ce n’est pas ce la démocratie>> dénonce telle.
Pour le chef de l’exécutif provincial, Julien Paluku, appelle la population de sa juridiction de n’est pas céder a toute manipulation des personnes mal intentionnées, qui profiteront de ce Dèce pour déstabiliser de nouveau la quiétude de sa population<< je saisis cette opportunité pour vous appeler à garder un calme de même que les services de sécurité et de defense envie de compatir avec la famille de l’illustre disparu  pour que les ennemis de la paix n’en profitent pas>> conseille t-il.
Héro de  mérité
Le  général jean-Lucien Bahuma Abamba était avant un homme de terrain, pour le voir il fallait donc généralement se rapprocher de la ligne de front, de taille moyen ,du regard a hier, cet homme qui fouillait le micro ne restait pas loin de ses troupes, souvent borné sur sa carte ou entré  des donner des ordres  a ses hommes témoigne Elvis Katshana, journaliste correspondant de la radio Nederland a Goma<< il était très  concentré dans ses devoirs et voulez de résultats positifs a ses subalternes,  sa grande victoire reste l’offensive éclairée qui les a mis dans le théâtre des affrontements contre l’ex M23, il était un fin de tacticien >> déclare t-il. nommé a la tête de la 8 éme région militaire  en juillet 2012  en provenance du Kassaï oriental, dans la 5eme région militaire  et en remplacement du général Mayala, lui-même mité au Bas-Congo, le général Lucien Bahuma  est militaire de formation et de métier, lauréat de la 11eme promotion de l’école de formation des officiers EFO /Katanga mais aussi en France, il a travaillé  au sein de la division spéciale présidentielle(DESP) sous règne de Mobutu   joseph, lui confiant le centre de commandement du centre d’entrainement des commandos de Pambwa, dans le nord-ubangi ,l’un des principaux commandants de la branche de Jean-Pierre Bemba de même que le colonel Mamadou Ndala nous a précisé une source proche de la 8eme région. Pour reprendre les choses en mains alors que les FARDC avaient enchainées des défaites face au M23 dont la plus humiliante était la prise de Goma en novembre 2012, un an plus tard après avoir simplifié la chaîne de commandement ,placé des hommes de confiance et bénéficie du support de Kinshasa pour que ses troupes soient payées, il est face deux semaine après d’un non humiliation répétée contre les rebelles et devient l’auteur  de l’une de première victoire militaire des FARDC depuis la décolonisation souligne Dany Kayeye , historien de la place. Depuis janvier en cours , c’est l’offensive contre les rebelles Ugandais des ADF qu’il menait une opération  compliquée et très couteuses en vies humaines qu’il n’a pas pu achever ,avec sa mort brusque, l’armé congolaise perd loin sans faux l’un de ses très bons commandants en chef,  populaire au sein de ses troupes mais aussi par des congolais et qui risque de manquer a une armé en pleine batail face aux groupes rebelles qui se vissent cette partie Est du pays ,heureusement pour la population ,il ya peu le président Joseph Kabila a nommé a la tête de la province du nord Kivu le général Emanuel Lombe pour son remplacement.
                                                                        Norbert Mwindulwa


Pour survivre, les déplacés de Kitchanga cultivent et élèvent des animaux dans le parage des camps



Une vie difficile de déplacés dans les camps, des nombreuses personnes, la plupart ont fuit leurs villages, ils sont toujours dans les camps, certains donateurs ont interrompu  l’aide humanitaire, cette situation complique davantage leurs vies, les déplacés cultivent des champs et élèvent des  animaux pour couvrir  leurs  besoins  tant bien que mal.
Dans le marin de Kibungo, a Kitchanga, a 85kilometres à l’ouest de  Goma, dans le territoire de Masisi plusieurs centaines des déplacés vivent  dans ce milieu d’une pauvreté décriant ,pour ces centaines de familles pauvres de reconstituer leurs vies après des conflits armés ou parfois des catastrophes naturelles ,l’un de ces coups réduit sensiblement la capacité de résilience des communautés concernées<< je suis déplacé venu de Mbati,je fuit les exactions de nyantura dans mon village, je serai ravi de cultiver la pomme de terre et la patate douce pour m’aider dans l’avenir comme les autres l’ont  bénéficient a la  récolte des  champs communautaires>> déclare t-il. Ce la fait un long temps  que  le problème de manque de la nourriture est signalée  par des observateurs indépendants, conséquence certains parmi eux, ce sont engagés  dans les activités humanitaires  pour les apporter un soutien tant soit peu<< notre grand problème, c’est la nourriture, on nous distribuait des vivres des organisations , mais pas assez ,actuellement ,j’ai un champs de maïs ,haricots et ce champs nous a été  distribué gratuitement et nous permet de revivre>> se réjouit, Chantal Kamariza, une mère de 5 enfants.
Pour favoriser l’accès de communautés vulnérables en générale aux biens de premières nécessités dans ces périodes de fragilités de transitions ,le programme alimentaire mondial  soutient  les activités d’’elevage de déplacés du camps de Mugote en y mettant en place un projet dénommé VIVRE POUR LE TRAVAIL, un projet qui consiste  a exploiter  des champs  et des greniers communautaires  nous a expliqué Djansoun Pardon, le chargé des communications du PAM dans la région est de la RD. Congo.
Yalala Ndondoli, natif de Karira, est déplacée depuis plusieurs années et mère d’une grande famille, aujourd’hui, il ture bénéfice du projet en honorant la scolarité de 3 de mes enfants et en investissant dans l’élevage des petits bétails<<mes enfants étaient renvoyés de l’école, grâce de la vente d’une partie de ma récolte, j’ai en fin payé leurs études et peuvent poursuivre leur année scolaire  encours , en suite je compte multipliée mes efforts en 3 pour rester efficace en investissant dans l’élevage des vaches et des chèvres >> se félicite telle .
Le marin aménagé  est repartie en petite   parcelle de 8 hectare offert d’une manière indépendante par PADEC, chaque ménage exploite sa parcelle pendant une durée bien définie de 5 ans , PADEC ,une organisation locale qui aide les déplacés en  fourniture des semences vivrières , Siméon Bitawa  en est   le coordonateur ,revient sur la problématique d’accès difficile des terres par ces déplacés et l’objectif de leur mission étant qu’organisation<< dans la contrée ,il se pose un problème d’accès a  la terre  de population paysanne ,ces concitoyens ne peuvent pas rentrer dans leurs milieux compte tenu d’activisme des groupes armes, ils préfèrent se prendre tout de même en charge en terme de la sécurité alimentaire  et nous ,on les facilite en menant de contacts avec les propriétaires de terres  pour les offrir la terre 5 ans gratuitement>> déclare t-il. 
                                                                                               Norbert Mwindulwa



Le transfert électronique d’argent, fait bonne affaire à Goma



 
la ville de Goma, en diagonal du rond point instigo, devant la direction régionale de la société de la téléphonie airtel  Congo sont érigés des kiosques et tables couverts par des parasols, plusieurs personnes y font des mouvements des transferts électroniques et des retraits d’argent moyennant  leurs téléphones portables comme nous témoigne Masika Kabuo, la quarantaine Dans révolue<< j’envoie 50 dollars Américains a mon frère qui est a Butembo ,donc je verse l’argent ici chez la demoiselle, le frère le récupéré  la bas a travers un message  téléphonique qui lui signalera que son compte airtel money est crédité de la somme en question>> dit-elle.
Transférer ou retirer de l’argent M-PESA  ici peut-on également lire ses écrits sur ce Kiosque tenu par Charles  Wasso au centre ville de Goma, non loin du rond point Tchukudu,  madame Rachel Mwepu vient d’y sortir il ya quelques minutes<< je viens d’envoyer  70 mille francs a mon père via le réseau Vodacom , il est  au Kasaï ,j’ai préfère  ici pour gagner du temps  ca ne demande même pas 2 minutes pour faire  ce mouvement ,   très vite>>se réjouit-elle.
Comme c’est rapide et diminue la distance, la commission est également minime ou gratuite  nous a expliqué  Joseph Bosmil, agent commercial a airtel Congo /Goma<< de moins de 100 dollars, l’abonne airtel ne paie rien comme commission, mais si c’est au delà de 100 dollars, il n’a qu’a paie 1 dollar  qui ne représente absolument rien>> explique t-il.
Quelques instants après  Pichou Bolola fait son entrée dans l’un des bureaux et il nous explique sa préférence de faire le transfert électronique d’argent en lieu et place d’utiliser les maisons traditionnelles  notamment SOFICOM ou MALOU EXPRESS << comme j’ai un réseau  Vodacom et a Walikale, il n’ya pas une représentation de SOFICOM, il reçoit immédiatement  le message  et s’en va au kiosque du voisin pour le retrait, dans les dix minutes qui suivent, l’opération aura finie>> rassure t-il.
AIRTEL MONEY, TIGO CASH et M-PESA sont entre autres des nouvelles opportunités offertes par des sociétés de télécommunications  utilisées  a Goma  et partout au pays ,pour envoyer ou recevoir électroniquement de l’argent, comme témoigne ci-haut par les bénéficiaires , ces derniers évoquent le gain de temps  et le coût faible de la commission .Malgré ses avantages ,les maisons de transferts traditionnelles  désemplissent  a Goma ,c’ est le cas de l’une des plus anciennes SOFICOM , selon le gens qui sont restés fideles a SOFICOM pour qui le transfert électronique  ou traditionnel , l’objectif reste le même, celui  d’envoyer ou de recevoir l’argent, c’est aussi l’âge qui compte dans le choix de moyen de transfert d’argent<<airtel money reste pour les jeunes ,moi je ne sais que appeler ou répondre sur mon téléphone, plus autres>> déclare  Mbusa Bayoli,ce sexagénaire , retrouvé  dans la maison SOFICOM a quelques 30 mètres du bureau  VODACOM M-PESA.
Tout de même. il faut dire que le transfert électronique d’argent enregistre certaines conséquences  ici par cette chercheuse en économie monétaire ,Nadine Nabintu <<vous envoyez urgemment  la monnaie électronique  a la personne, elle vous déclare n’est pas reçu  le message ,en ce moment ,c’est difficile  qu’elle soit servit , quelques fois au lieu de message d’argent, vous recevez ,le message de crédit d’appel a son équivalence, tout ceci pose des soucis >> se désole t-il.
Notons  que les avantages tirés comme pour des personnes détentrices des Kiosques d’envoie  et de transfert électronique d’argent ne pas grand, pour papy Muchukiwa, tout réside dans les mouvements transactionnels enregistrés  durant une période d’un mois<< ils  nous encouragent  avec quelques bonus  à la fin du mois et cela dépend du volume des mouvements de transfert et d’envoie comptabilisé  pour vous honorer plus>> dit-il.
Une centaine des personnes y passent par jour pour effectuer ces transactions financières  a ajouté notre source.
                                                                              Norbert Mwindulwa
           

Mal connu ou moins préféré, le préservatif féminin n’est pas utilisé a Goma




Le préservatif féminin  n’est pas apprécié  chez les femmes pour les quelles ils ont été conçu ,6 ans après son introduction a Goma, certaines se méfient toujours, d’autres l’ignorent carrément pour des diverses raisons ,au cœur de ces raisons :l’inconfort ou l’encombrement pour expliquer leur empressement s’approprié ces préservatifs pourtant est l’un des moyens de les protéger contre les maladies sexuellement transmissibles ou encore des grossesses non désirées, les O.N.G. se mobilisent différemment pour intérioriser la culture de leur utilisation.
Introduit et vulgarisé depuis 2008, le préservatif  pour femme  reste de nos jours moins connu de Gomatraciens  pourtant plusieurs sensibilisations et publicités ont été effectuées par   des organisations internationales et nationales qui militent contre la propagation de l’épidémie du Sida mais les habitants de Goma n’en savent grand-chose<< j’entends parler de ce condom, mais je ne jamais voulu en savoir plus étant que chrétienne >> avoue Adrianne Kavira, une protestante de foi , comme elle , Sandrine Muhima, la quarantaine révolue et femme mariée , pense qu’ il n’est utile  pour elle de connaitre usage ce préservatif étant  une femme fidele a son mari et même son apparence << je marié légalement pour quelle raison je connaitre ce préservatif  féminin? Nous  sommes Africaines et non des blanches pour appliquer n’importe quoi>> s’indigne telle.
Pour Kombo Kabika, avoue  avoir vu le préservatif féminin et ne jamais l’utilisé  pour des raisons d’éthiques avec sa petite amie<< il est  comme d’autres condoms, mais pour le préservatif  féminin, c’est un peu grand  que d’autres  je ne peux malheureusement  vouloir que mon amour porte ca, c’est l’autoriser de faire les débauches>> insiste t-il.
En fait la prudence, c’est terme communément utilisé  pour toutes sortes de préservatifs  car c’est  la marque déposée   mise sur ce produit ici a Goma, qui n’attire pas  toujours  les femmes  de la place , quelles que unes d’elles le trouvent même grossier  et difficile a porter et encombrent lors de rapport sexuel aussi  préfèrent- elles  encore  le préservatif masculin << il faut savoir d’abord savoir mieux le placer , moi je préfère le préservatif masculin qui me laisse libre comme femme>> a  avoué  Anifa Kisubi, une étudiante et fiancée. Les femmes qui connaissent leur usage restent, ce pendant prédisposées  à l’utiliser  << ici il ya des hommes qui doutent de leurs états  sérologiques et qui veulent a tout prix faire  l’amour avec  une femme expressément, mieux vaut en utiliser et aussi  pour faire l’espacement de naissance, c’est  l’un des moyens le plus efficace>> conseille Sarah Bokota. Ce pendant  plusieurs facteurs expliquent la  sous utilisation du préservatif féminin ici en ville de Goma notamment : la culture Africaine qui veut que la femme  ait un seul homme et l’homme puisse en avoir plus d’une pour exprimer sa puissance et sa richesse << il n’est pas commode qu’une femme Africaine achète un préservatif dans une officine pharmaceutique, l’autre a toujours un préjuge  négatif par rapport a cet achat , du coup ,elle a honte et se livre sans protection, c’est qui est très dangereux>> déclare Aruna Mwanana, de l’O.N.G ANGE NA SIDA, une organisation non gouvernementale locale qui lutte contre le Sida. Aussi dans les pharmacies  de Goma et les points de vente, il est difficile de trouver un préservatif  féminin, nous sommes aux trois  paillottes  a Katindo  où nous avions parcouru quinze pharmacies dans les quelles une seule  vend  le préservatif  féminin << il est difficile de s’approvisionner en préservatif féminin et même le masculin, les gens achètent ceux-là difficilement car les O.N.G.  Les distribuent gratuitement>> a Guy Kassay, pharmacien de son Etat.
Les  O.N.G se mobilisent

Devant le portail de la Monusco, au centre ville, a cote de l’agent de sécurité, peut-on voir des cartons ouverts des préservatifs   féminin comme ceux pour les hommes  qui sont mis a la portée de tout le monde qui aurait besoin de  usage et ceux-ci sont gratuits<<  ils sont gratuits et sans conditions pour les apporter, même la boite entière vous pouvez l’amener avec vous et même  dans nos latrines, c’est déposé  , cette façon donne occasion a tout le monde de faire un rapport sexuel responsable>> déclare Baudouine Furah, agent de sécurité a la Monusco.
Pour Murabi K., habitant du quartier Himbi, affirme pour sa part faire usage de ce préservatif avec sa partenaire car ils sont encore non mariés, d’ailleurs, le jeune homme le préfère par rapport  au préservatif masculin  comme c’est trouvable sans  sou, mieux vaut prévenir que guérir  << elles ont l’habitude de nous accuser souvent les avoir apporté les maladies, quand c’est elle qui  porte, c’est rassurant et sécurisant, je la conseille d’en porter>> affirme t-il.
Comme certaines O.N.G. sont déterminés pour sensibiliser  les habitants  au port de ce préservatif  bien entendu par la campagne dénommée BIP APPEL de l’observatoire  gouvernance et paix, cette dernière  a rendu le weend  dernier un numéro téléphonique  disponible  pour toute personne qui aura des questions concernant l’utilisation des préservatifs  et de la santé sexuelle  de lui adresser un bip et les experts en la matière  lui répondront << si la personne bip, nous rappelons pour s’entretenir avec lui, cela  chaque lundi au vendredi entre a15h a 18h, c’est dans le but aussi de prévenir toutes  sexuelles transmissibles : port de préservatif, prévenir les grossesses précoces  et non désirées, également  dialoguer et non en faire un tabou.
Notons que ce numéro téléphonique est : +243 993236483, il est défini comme un numéro  sans tabou,  avalisé par  le ministère provincial de la santé.


                                                                                                         Norbert Mwindulwa