vendredi 26 septembre 2014

Pour survivre, les déplacés de Kitchanga cultivent et élèvent des animaux dans le parage des camps



Une vie difficile de déplacés dans les camps, des nombreuses personnes, la plupart ont fuit leurs villages, ils sont toujours dans les camps, certains donateurs ont interrompu  l’aide humanitaire, cette situation complique davantage leurs vies, les déplacés cultivent des champs et élèvent des  animaux pour couvrir  leurs  besoins  tant bien que mal.
Dans le marin de Kibungo, a Kitchanga, a 85kilometres à l’ouest de  Goma, dans le territoire de Masisi plusieurs centaines des déplacés vivent  dans ce milieu d’une pauvreté décriant ,pour ces centaines de familles pauvres de reconstituer leurs vies après des conflits armés ou parfois des catastrophes naturelles ,l’un de ces coups réduit sensiblement la capacité de résilience des communautés concernées<< je suis déplacé venu de Mbati,je fuit les exactions de nyantura dans mon village, je serai ravi de cultiver la pomme de terre et la patate douce pour m’aider dans l’avenir comme les autres l’ont  bénéficient a la  récolte des  champs communautaires>> déclare t-il. Ce la fait un long temps  que  le problème de manque de la nourriture est signalée  par des observateurs indépendants, conséquence certains parmi eux, ce sont engagés  dans les activités humanitaires  pour les apporter un soutien tant soit peu<< notre grand problème, c’est la nourriture, on nous distribuait des vivres des organisations , mais pas assez ,actuellement ,j’ai un champs de maïs ,haricots et ce champs nous a été  distribué gratuitement et nous permet de revivre>> se réjouit, Chantal Kamariza, une mère de 5 enfants.
Pour favoriser l’accès de communautés vulnérables en générale aux biens de premières nécessités dans ces périodes de fragilités de transitions ,le programme alimentaire mondial  soutient  les activités d’’elevage de déplacés du camps de Mugote en y mettant en place un projet dénommé VIVRE POUR LE TRAVAIL, un projet qui consiste  a exploiter  des champs  et des greniers communautaires  nous a expliqué Djansoun Pardon, le chargé des communications du PAM dans la région est de la RD. Congo.
Yalala Ndondoli, natif de Karira, est déplacée depuis plusieurs années et mère d’une grande famille, aujourd’hui, il ture bénéfice du projet en honorant la scolarité de 3 de mes enfants et en investissant dans l’élevage des petits bétails<<mes enfants étaient renvoyés de l’école, grâce de la vente d’une partie de ma récolte, j’ai en fin payé leurs études et peuvent poursuivre leur année scolaire  encours , en suite je compte multipliée mes efforts en 3 pour rester efficace en investissant dans l’élevage des vaches et des chèvres >> se félicite telle .
Le marin aménagé  est repartie en petite   parcelle de 8 hectare offert d’une manière indépendante par PADEC, chaque ménage exploite sa parcelle pendant une durée bien définie de 5 ans , PADEC ,une organisation locale qui aide les déplacés en  fourniture des semences vivrières , Siméon Bitawa  en est   le coordonateur ,revient sur la problématique d’accès difficile des terres par ces déplacés et l’objectif de leur mission étant qu’organisation<< dans la contrée ,il se pose un problème d’accès a  la terre  de population paysanne ,ces concitoyens ne peuvent pas rentrer dans leurs milieux compte tenu d’activisme des groupes armes, ils préfèrent se prendre tout de même en charge en terme de la sécurité alimentaire  et nous ,on les facilite en menant de contacts avec les propriétaires de terres  pour les offrir la terre 5 ans gratuitement>> déclare t-il. 
                                                                                               Norbert Mwindulwa



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