Une vie difficile de déplacés dans les camps, des
nombreuses personnes, la plupart ont fuit leurs villages, ils sont toujours
dans les camps, certains donateurs ont interrompu l’aide humanitaire, cette situation complique
davantage leurs vies, les déplacés cultivent des champs et élèvent des animaux pour couvrir leurs
besoins tant bien que mal.
Dans le marin
de Kibungo, a Kitchanga, a 85kilometres à l’ouest de Goma, dans le territoire de Masisi plusieurs
centaines des déplacés vivent dans ce
milieu d’une pauvreté décriant ,pour ces centaines de familles pauvres de
reconstituer leurs vies après des conflits armés ou parfois des catastrophes
naturelles ,l’un de ces coups réduit sensiblement la capacité de résilience des
communautés concernées<< je suis déplacé venu de Mbati,je fuit les
exactions de nyantura dans mon village, je serai ravi de cultiver la pomme de
terre et la patate douce pour m’aider dans l’avenir comme les autres l’ont bénéficient a la récolte des
champs communautaires>> déclare t-il. Ce la fait un long
temps que le problème de manque de la nourriture est signalée
par des observateurs indépendants,
conséquence certains parmi eux, ce sont engagés dans les activités humanitaires pour les apporter un soutien tant soit
peu<< notre grand problème, c’est la nourriture, on nous distribuait des
vivres des organisations , mais pas assez ,actuellement ,j’ai un champs de maïs
,haricots et ce champs nous a été
distribué gratuitement et nous permet de revivre>> se réjouit,
Chantal Kamariza, une mère de 5 enfants.
Pour
favoriser l’accès de communautés vulnérables en générale aux biens de premières
nécessités dans ces périodes de fragilités de transitions ,le programme
alimentaire mondial soutient les activités d’’elevage de déplacés du camps
de Mugote en y mettant en place un projet dénommé VIVRE POUR LE TRAVAIL, un
projet qui consiste a exploiter des champs
et des greniers communautaires
nous a expliqué Djansoun Pardon, le chargé des communications du PAM
dans la région est de la RD. Congo.
Yalala
Ndondoli, natif de Karira, est déplacée depuis plusieurs années et mère d’une
grande famille, aujourd’hui, il ture bénéfice du projet en honorant la
scolarité de 3 de mes enfants et en investissant dans l’élevage des petits
bétails<<mes enfants étaient renvoyés de l’école, grâce de la vente d’une
partie de ma récolte, j’ai en fin payé leurs études et peuvent poursuivre leur année
scolaire encours , en suite je compte multipliée
mes efforts en 3 pour rester efficace en investissant dans l’élevage des vaches
et des chèvres >> se félicite telle .
Le marin aménagé est repartie en petite parcelle de 8 hectare offert d’une manière indépendante
par PADEC, chaque ménage exploite sa parcelle pendant une durée bien définie de
5 ans , PADEC ,une organisation locale qui aide les déplacés en fourniture des semences vivrières , Siméon
Bitawa en est le coordonateur ,revient sur la problématique
d’accès difficile des terres par ces déplacés et l’objectif de leur mission étant
qu’organisation<< dans la contrée ,il se pose un problème d’accès a la terre
de population paysanne ,ces concitoyens ne peuvent pas rentrer dans
leurs milieux compte tenu d’activisme des groupes armes, ils préfèrent se
prendre tout de même en charge en terme de la sécurité alimentaire et nous ,on les facilite en menant de
contacts avec les propriétaires de terres
pour les offrir la terre 5 ans gratuitement>> déclare t-il.
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