Trente
journalistes des presses de Goma ont
bénéficié une formation de deux jours pour
le journalisme de justice pour lutter contre la petite corruption dans les
milieux des magistrats, des journalistes et politiciens, c’est le thème
principale de cet atelier .c’est le
cadre de l’hôtel V.I.P place qui a
accueilli ces travaux de formation du 15 au 16 juillet, d’autres thèmes
secondaires ont été mis en exergue au profit de ces chevaliers de la plume
notamment : la présomption d’innocence et le secret d’instruction .les
thème développés a cours de cet atelier comme par exemple ce lui de la petite
corruption ,a l’issue de la formation les journalistes devraient récolter ,traiter ,et diffuser l’information
de manière a démontre que la corruption minime que soit-elle ,elle peut
entrainer des conséquences graves
surtout en affaiblissant les acteurs concernés dans ce travail comme <<les
magistrats ,les policiers qui jugent le prévenu et aussi le journalistes
qui publie l’information sur que nous dans la zone poste conflit où après que
la victime ait été violée de ses Droits , on lui rétablit la paix ,il doit se sentir être restitué de
ses Droit dans une justice équitable>> explique Tuver Undi, correspondant provincial des journalistes en danger (J.E.D.) et l’un
des organisateurs de la formation.
Cette formation financée par le réseau des citoyens pour la justice et La démocratie (R.C.N) en connivence avec l’union de femmes des medias au Congo
(UCOFEM) et l’O.N.G.D. journalistes en
danger est une opportunité salutaire pour un journalisme professionnel dans la
mesure où ,elle permet au journaliste de faire son travail dans l’impartialité
totale et la responsabilité parfaite car appliquer cette matière ,c’est aussi
se mettre en sécurité<<avant que les services de sécurité sécurisent
le journaliste ,il commence par se
sécuriser lui-même en appliquant les principes appris en
journalisme et toutes ces matières connexes y
afférant et on fera un bon
journalisme pour justice donc tout le monde doit en profiter >> renchérie
Cosmas Mungazi ,journaliste de Syfia Grand lac.
C’est autour de cette politique rédactionnelle que désormais les trente
journalistes formés de Goma, une
province réputée en conflits armés ici en R.D.Congo que devront produire des articles pour la promotion
de la justice.
Pour une presse vectrice de la justice
Parce que les journalistes vivent dans les zones en
conflit ou en poste conflit avec ou sans
les fauteurs de trouble, ils doivent
avoir un esprit de relativiser a ces conflits en fin de contribuer a la
reconstruction d’un milieu médiatique
plein de justice car le conflit est inhérent a la nature humaine<<je
crois fermement que ce genre de formations sont importantes surtout pour nous
les journalistes d’une région en conflit.qui après avoir publié une information
sans pour autant s’imprégner de contexte de justice , par exemple la notion de la présomption
d’innocence et les explications des articles de La déclaration Universelle de Droit de l’homme, nous pouvons
être des prochaine cible pour les protagonistes >> explique Evelyne
Luyelo , point focal de l’UCOFEM. Puisque
rédiger un article de justice n’est pas une mince affaire, en plus le rédiger
mal peut mettre en cause son auteur et même occasionner son arrestation pour
délit d’information ou la diffamation, je recommandé aux chevaliers de la plume
de passer d’une théorie a la pratique <<j’exhorte aux participants de faire
bien usage de la matière apprise car la justice, la démocratie et le
journalisme auront le triomphe en R.D.Congo >>suggère Boubacar, coordonateur de RCN.
Attitude
des journalistes lors de la formation
Norbert Mwindulwa
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