lundi 28 juillet 2014

Mal interprétée, la loi portant protection d’enfants prête confusion a certains jeunes



La confusion cerne les tètes de jeunes de Goma, ce derniers déferrent en  justice  leurs pères, pour cause : revendication de leurs Droits souvent , ils perdent des procès croyant qu’ils restent éternellement enfants de leurs pères en lieu et places de fils de leurs pères, certains parmi eux plaident pour  l’implication de medias a  insérer et amplifier les émissions  ayant trait de justice pour leur formation et information  mais ; ces actions  posées par ces jeunes ont des conséquences négatives dans la vie conjugale de leurs mères biologiques, d’autres femmes frôlent le divorce forcé.  
Ce dernier temps, les jeunes de Goma, à l’est de la Rd.congo  portent de plaintes  contre leurs parents et leurs tutelles.  Selon la loi congolaise  portant protection de l’enfant<< est enfant tout  être humain âgé de moins de 18 ans >> précise Maitre Bernard  Mbombo, défenseur judiciaire prêt le tribunal de grande instance de Goma ; mais certains jeunes  désœuvrés, qui ont abandonnés les études, étant déjà majeur et d’autres sont devenus pères des enfants et avec des femmes dans leur parcelle  familiale intentent leur père en justice<< que j’aie 24 ou 30 ans, je reste fils  de mon père et il me doit toute sa vie, je demande a Monsieur le juge que mes revendications soient prises en compte >> insiste Gabrielle babe , lors d’une audience publique au tribunal de grande instance de Goma. Des revendications bidons de la partie civile qui sont énumérées comme  suit << que la présente action soit recevable et fondée ,que son père  soit condamné de lui assigner au paiement de 800 dollars Américains par mois et que ce présent jugement exécutoire ne puisse connaitre aucun recours >> ajoute  Maitre Blaise  kyalondawa , avocat de la partie civile. Vraisemblablement  son client  n’a pas était explicite   car  malgré que le plaignant ne plus mineur,  ce dernier continu a mentir sur son institution académique  et son état civil pour vouloir en fin trouver  ce qu’il qualifie de son Droit  légal étant que l’un de quatre fils biologique  de Kasimu Assani en  vie  toujours et qui continu par l’amour parental a assuré tant bien que mal la pension alimentaire de son foyer << malgré les difficultés avec leur mère ,je fais ce que je peux ,chaque mois je débourse au moins 400 dollars Américains  a la banque of Africa (B.O.A.) moyennant un cheque bancaire  car je ne suis qu’un simple chauffeur et je travaille très loin de Goma ,je besoin aussi de quelques billets >>déclare t-il.  
En vertu de l’article 23 du code de la famille  de la Rd.congo portant protection de l’enfant << tout enfant a Droit  a une vie suffisante assurant sa survie…>> encore faut-il être enfant pour bénéficier de ses Droits légaux  renchéri Maitre Katchaba, Avocat de la défense .Des mêmes faits produisent de mêmes réactions, clarisse Kabuo ,23 ans, poursuit ses études difficilement : après avoir eu des faux conseils sur le Droit de l’enfant via les mauvaises compagnies ,j’étais obligée de porte plainte contre mon oncle partenaire qui m’aidait avec son  modeste moyen ,pourtant tout ce  que j’exigeais ,il devrait le faire s’il était père biologique et avait des moyens << je l’avait exigée devant l’Etat qu’il m’achète un ordinateur en quand j’étais en 5eme humanité pédagogique et m’achetée une moto pour assure mon argent de poche ,et pourtant il le faisait par amour, je ne savais rien ,aujourd’hui j’accuse un grand retard scientifiquement étant en G1 a 23 ans , on devrait même nous éduquer  au  medias  >> se désole- telle.
Des émissions  pour apprendre 
En province du Nord-Kivu , et en particulier  dans la ville de Goma de plus en plus d’enfants  ou des jeunes  saisissent   désormais la police ou les tribunaux  pour défendre leurs Droits  contre leurs  parents ou d’autres familiers .les plus âgés les font seuls , les moins âgés sont aidés par leurs mères ,soit par les défenseurs des Droits humains ou des jeunes avocats passionnés , qui souvent n’exigent que les frais de transport ,ces derniers passent  sur des radios locales pour  lancer l’offre en fin de les venir en aide<< dans l’émission balance d’équité ,dans ce programme ,les juristes donnent leurs numéros de téléphone pour que ce qui sont démunis appellent après l’émission, expliquent leurs problèmes pour voir comment aider les  juridiquement car selon eux  ,ceci constitue également notre Droit   >> explique ce fidele auditeur de la RTGB/GOMA.
Selon Guy Kibira ndohole, président du conseil provincial  de la jeunesse de Goma, une ONG locale , plusieurs groupes  de jeunes ont bénéficient plusieurs formations sur leurs Droits et leurs devoirs y compris nos professionnels de  medias, qui nous prêtent main forte<< des jeunes des territoires  Walikale, de Masisi et Lubero ont eu suffisamment de formation et mêmes les journalistes locaux pour accompagner la promotion de la justice avec l’ONG Internationale  UHAKI SAFI, je suis confiant les jeunes porteront plaintes  maintenant quand il faudra les  faire >>rassure-t-il.
Mieux informés sur leurs Droits, les enfants et les jeunes ont davantage recours à la justice  pour  les faire  valoir, le greffe civil du tribunal de grande instance  de Goma a
Enregistré 12 plaintes depuis le début de l’année en cours  opposant pères et enfants, sur  cette douzaine  mais seules quatre plaintes sur douze, les jeunes ont eu raison lors  de  verdict  nous a affirmé  une source prêt le tribunal de grande instance de Goma.
Ces plaintes enregistrées ont des conséquences graves sur les couples des parents car pendant le procès, les pères de plaignants pensent que, leurs fils sont appuyés par leurs mères et cette situation affecte leurs vies de couple.
Des couples frôlent le divorce  
<< Depuis ce procès, ma vie conjugale va mal, alors que je suis innocente dans tout ca, quand Dany a décidé d’amener son père en juste, je l’avais conseillée de n’est pas le faire  mais sans succès, son père croit que j’ai une main noire dans ces revendications  et ces réactions ont failli   détruire mon mariage >> se plaint Rozenne K.  , une femme qui son mari s’est délibérément occupé  de la deuxième  femme a cause du conflit l’opposant avec son garçon. Pour le pasteur Raphael Bengantundu , les hommes ne doivent pas punir leurs femmes en lieu et place de leurs fils car le comportement des jeunes de ce dernier temps démontre  le  signe   de la fin du monde << la bible déclare que l’homme aimera plus biens que ses  fils et vice versa , sont là des signes de l’avenu du christ ,ces jeunes profitent de l’éducation diffuse qui n’a rien avec le conseil leurs mères et les jeunes doivent savoir la seule chose dont leurs pères puissent les  léguer comme héritage  ,c’est les études et la voie  du christ >> conseille-t-il.



                                                                                    
                                                                                      Norbert Mwindulwa   

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