Un danger
vient de l’agriculture clandestine, les activités de carbonisation, pour Petre des animaux domestiques y compris la
construction des huttes permanentes, c’est l’institut congolais pour la
conservation de la nature qui met en garde ces agriculteurs congolais ;
mais les observateurs indépendants pensent
que des vraies concessions puissent être trouvées entre les deux parties en conflit en
fin de trouver une solution pacifique et durable car disent –ils le parc
vit naturellement en cohabitation avec
cette population depuis plusieurs années .
Plus
de 4 million de personnes vivent a moins d’une journée du parc de Virunga, une pression démographique
très forte dans une région très peuplées où l’accès a de terres
arabes est de plus en plus limitée , et c’est ce la principale menace pour les 800 mille hectares de nature de ce parc , la présence humaine. Depuis
des années la réserve naturelle est
engagée dans des plaidoyers , des négociations, et des actions des développements pour des villageois vivant
au tour du parc mais ceux-ci ne suffisent pas , cette fois encore des nouvelles menaces ont été signalées au nord de la Reserve naturelle de Virunga <<
les animaux domestiques sont amenée
sur place pour Petre ,pour Olivier Mugisha ,le chargé de la communication au
parc de Virunga c’est un casse-tête car il est impossible de contrôler toute l’étendue
de ce gigantesque parc en permanence , d’autant plus une douzaine de groupes armés y circulent
toujours ,l’autre menace est celle du
bois de chauffe qui détruit la foret de Virunga >> dénonce t-il . A Goma
par exemple près d’un million de personnes dépend de ce foret pour se fournir
en bois et en charbon de bois, des questions
complexes qui jettent régulièrement des controverses entre la
population, l’ICCN et les 300 espèces
dont les gorilles de montagnes qui vivent dans cette écrème nature nous a
témoigné un journaliste de Goma spécialisé dans l’environnement et conservation
de la nature. Tout de même il faut faire des concessions entre la
population et les autorités du parc pour parvenir à un consensus qui apaiserait
les deux parties.
Ouvrir une
négociation
La
négociation a été ouverte a Kahunga pour finir a Ishasha en fin de marquer toute
limite du parc de Virunga , celle-ci n’a pas visiblement était un succès pour ces deux parties en
conflit l’entant car a moins d’une année de ces pourparlers ,ces retombée
restent inquiétantes ; parmi les facilitateurs ,on peut citer pole
institute, une organisation non gouvernementale qui s’occupe des résolution des
conflits interculturels dans la région de grands lacs ,pour pole institute ,
l’institut congolais pour la conservation de la nature (I.C.C.N.) doit écouter les revendications de toutes ces
communautés environnantes et voir a quelle mesure il peut les répondre même en partie de ces
revendications pour en fin apaiser de
tensions entre voisins, car ils obligés de vivre ensemble <<
la population est aux alentours de ce parc depuis plusieurs décennies et la nature fait
qu’ils doivent vivre dans le rapprochement avec ce parc , d’où il faut une
solution pacifique a ce problème >> insiste cet agent de pole institute
qui a requit son anonymat.
Solon kambere
mwengesyali, habitant vivant aux alentours du parc, cette négociation entre
les élus de la population n’a pas tenue
car les attentes de la population était grande que le résultat obtenu par les
députés<<la population se fâche contre les conclusions de la négociation députes-ICCN,
d’octobre dernier. L’ICCN maintenant menace sur les medias de lancer une
opération de déguerpissement >> se désole t-il.
Pour
Emanuel d’émeraude, le directeur du parc de virunga, ces agriculteurs clandestins établissent des nouveaux champs dans le
parc et d’autres y construisent des huttes permanentes <<Il ya des activités des carbonisations
et du bêtaille , ce sont des actes qui violent directement la résolution mixte des députées élus et l’ICCN>> ajoute t-il.
Norbert Mwindulwa
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