lundi 28 juillet 2014

MENACER DE NOUVEAU LE PARC DE VIRUNGA : L’INSTITUT CONGOLAIS POUR LA CONSERVATION DE LA NATURE MET EN GARDE TOUT FAUTEUR




Un danger vient de l’agriculture clandestine, les activités de carbonisation, pour  Petre  des animaux domestiques y compris la construction des huttes permanentes, c’est l’institut congolais pour la conservation de la nature qui met en garde ces agriculteurs congolais ; mais les observateurs indépendants pensent  que des vraies concessions puissent être  trouvées entre les deux parties en conflit en fin de trouver une solution pacifique et durable car disent –ils le parc vit  naturellement en cohabitation avec cette population depuis plusieurs années .
Plus de 4 million de personnes vivent a moins d’une journée  du parc de Virunga, une pression démographique très forte dans une région très peuplées  où l’accès  a de terres  arabes est de plus en plus limitée ,  et c’est  ce la  principale menace pour les  800 mille hectares  de nature de ce parc , la présence humaine. Depuis des années  la réserve naturelle est engagée dans des plaidoyers , des négociations, et des actions  des développements pour des villageois vivant au tour du parc mais  ceux-ci ne  suffisent  pas , cette fois encore des nouvelles  menaces ont été signalées  au nord de la Reserve naturelle de Virunga << les animaux domestiques  sont   amenée  sur place pour Petre ,pour Olivier Mugisha ,le chargé de  la communication  au  parc de Virunga  c’est un casse-tête  car il est impossible de contrôler toute l’étendue de ce gigantesque parc en permanence , d’autant plus  une douzaine de groupes armés y circulent toujours ,l’autre menace est celle  du bois de chauffe qui détruit la foret de Virunga >> dénonce t-il . A Goma par exemple près d’un million de personnes dépend de ce foret pour se fournir en bois et en charbon de bois,  des questions complexes qui  jettent  régulièrement des controverses  entre  la  population, l’ICCN et les 300 espèces dont les gorilles de montagnes qui vivent dans cette écrème nature nous a témoigné un journaliste de Goma spécialisé dans l’environnement et conservation de la nature.  Tout de même  il faut faire des concessions entre la population et les autorités du parc pour parvenir à un consensus qui apaiserait les deux parties.
Ouvrir une négociation      
La négociation a été ouverte a Kahunga pour  finir a Ishasha en fin de marquer toute limite  du parc de Virunga , celle-ci  n’a pas visiblement  était un succès pour ces deux parties en conflit l’entant car a moins d’une année de ces pourparlers ,ces retombée  restent inquiétantes ; parmi les facilitateurs ,on peut citer pole institute, une organisation non gouvernementale qui s’occupe des résolution des conflits interculturels dans la région de grands lacs ,pour pole institute , l’institut congolais pour la conservation de la nature (I.C.C.N.) doit  écouter les revendications de toutes ces communautés environnantes et voir a quelle mesure il  peut les répondre même en partie de ces revendications pour en fin  apaiser de tensions entre voisins, car ils obligés de vivre ensemble  <<  la population est aux alentours de ce parc  depuis plusieurs décennies et la nature fait qu’ils doivent vivre dans le rapprochement avec ce parc , d’où il faut une solution pacifique a ce problème >> insiste cet agent de pole institute qui a requit son anonymat.
 Solon  kambere mwengesyali, habitant vivant  aux  alentours du parc, cette négociation entre les élus  de la population n’a pas tenue car les attentes de la population était grande que le résultat obtenu par les députés<<la population se fâche contre les conclusions de la négociation députes-ICCN, d’octobre dernier. L’ICCN maintenant menace sur les medias de lancer une opération de déguerpissement >> se désole t-il.  


Pour Emanuel d’émeraude, le directeur du parc de virunga, ces agriculteurs clandestins  établissent des nouveaux champs dans le parc  et d’autres y construisent  des huttes permanentes  <<Il ya des activités des carbonisations et du bêtaille   , ce sont des actes qui violent  directement  la résolution mixte des députées élus et  l’ICCN>> ajoute t-il.

                                                                             
                                                                                                                   Norbert Mwindulwa

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