lundi 14 mars 2016

Ruchuru /                                                                                                                    
La monté de spirale  des violations de droits de l’homme  par des services spécialisés

Les arrestations arbitraires, bastonnades, tortures corporelles, amandes injustifiées sont de cas de violation de droits de l’homme commises par certains éléments indisciplinés de la légion nationale d’intervention LENI  et ceux de services de sécurité en territoire de Rushuru. Toutes ces violations sont  documentées et dénoncées par les organisations  de droits de l’homme que la société civile. Ces pratiques aberrantes infligées contre les présumés coupables tuent parfois, cela  au vu et au su de tous. Les autorités promettent des sections rigoureuses aux fauteurs.
                                                                          
Les exactions commises par quelques éléments de services de sécurité et  de renseignement notamment : la police de la légion nationale d’intervention et l’agence nationale de renseignement dans le territoire de Rushuru préoccupe au plus haut point les organisations de droits de l’homme et la société civile. En dépit de l’amélioration de la situation observée sur le plan sécuritaire à Rushuru affirment –telles. Ces constants sont ceux des plusieurs organisations de droits de l’homme à l’occurrence de Peace Human Dignity and development PHDD. L’un de ces membres qui a requis l’anonymat revient sur ces violations documentées « ces violations de l’ANR et la PNC sont dénombrés a 10 cas, dont un homme soupçonné de faire partir des kidnappeurs, retrouvé mort à bout portant et trainer  sur la route  » dénonce-t-il. Et de continuer un autre soupçonné de détention illégale d’arme à Kiwanja, il a été buller vif par de barre de fer mis  sur le feu qu’on lui mettait  sur la tête pour qu’il avoue le fait  de gré ou de force, cette organisation fustige également des arrestations illégales  qu’elle qualifie d’arbitraires au niveau de la cité de Kiwanja. 
Aller au-delà de  sa mission
                                                                                                                                                                  Ces agents de services spécialisés  partiraient au-delà de leur mission « L’ANR de Kiwanja tracasse la population en demandant des cartes de baptême une fois que la victime a tous les documents dans le but de chercher le motif pour lui rançonner  » dénonce-t-il. Ces cas et plusieurs autres ont été documentés  par cette organisation de droits de l’homme  sur place à Rushuru.
L’ordonnance loi créant le service national de renseignement stipule dans son texte que « un agent de l’ANR  qui a la compétence d’arrêter doit être revêtu de grade de l’inspecteur et a le titre d’un OPJ  peut arrêter pas d’autres »  fait savoir Bienvenu Mayemba du centre de formation international en droits humains et développement CFIDH /D en soulignant pas n’importe qui pour faire des arrestations mais ils peuvent se limiter à fournir des renseignements ou des investigations. Malheureusement à Rushuru n’importe quel collaborateur de l’ANR effectue des arrestations de tout genre,  même des problèmes fonciers  ajoutent cet activiste des droits de l’homme. Ces dérapages dans leur mission dévolue sont également dénoncés par la coordination provinciale de la société civile. Thomas Dacquin, parle de quelques brebis galeux  dans le rang de ces services  qui se livrent souvent dans ses actions  sans que leur hiérarchie le sache « ils ne manquent pas des brebis galeux dans leur rang qui commettent des bavures sur la population, a l’issue de l’enquête, il se révèle que leur chef n’était pas au courant, c’est-ce que nous dénonçons toujours » informe-t-il.  Nos reporters ont fournis leurs efforts pour conforter la version de fait de la PNC /Rushuru mais en vain. Le colonel Aimé Twite  a préféré  donne sa langue au chat.
Promesse d’implication et sanction


 Toute fois le Gouverneur de la province a répondu sur la même question à la Radio Okapi en prévenant et tapant sont sur table,  que ce genre de traitement dégradant infligé aux populations, seront enquêtés  et si c’est vrai c’est que cela ternie l’image de la PNC, pourtant un service régalien proche et au service de la population «  je président ce04 février en court une réunion de sécurité, la question est sur table pour la passer en peigne fin avec le reprenant du commissaire provincial de la PNC, je projet d’agir avec rigueur une fois que le fait est vrai et je faciliterai les services compétents pour les déferrer  devant la justice » insiste-t-il . 

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